Page 34 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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vil faire des coiips  di: liircc polir  la trav.ii1,  aiissi consi-
                                            dérables  el  aiissi  gaieiiient.   Aiii>i,  on  viiigt-iliititrz
                                            lieiires,  fairc  nii  cliciniii  <le trois  quart?  (de  lieue
                                            traver~ les bois, 011~rir la triincibe  b  celit toi,se~, et B~ULP
                                            fait qiiatre-virigts  toise3 Je parall&le :  Cette promptiti~de
                                            fait aba.udoiiiiei le fort Oiitnrio avec Ira~rriir ;  di? siiite,
                                            toui nie3 sold:lt~ trairi-iit  A  bi..ri  iIlliîuirn:~ le  e.iiio:i,  lit,
                                            siir vii~gt officiers et dis-sekit cents iiiilioicns cet ecrnplii
                                            ne duteriiiina ~quz cciit  C,iiiadieiis et M«nligiiy.  Tolite
                                            la  iiiiit,  on  travaillï  Ii  iinc  coiiiriiiiiiicatioii  et  ii  iiiic
                                            batterie.  11 il'y  avuit  au cninp que tc? garJes dii ïariiip.
                                            Elifin  le corps de M. (le Rigaiid, après  Joiize  Iieiires de
                                            retard, siir l'ordre qii'il  eii avait, passe ail gii6, izii-ilesjus
                                            de moi, pour  iiii.estit  lalilacede l'autre côté.  L'eniienii
                                            s'efï~aic, deinaiide i cal~ituler  le  caiioil  venait dc  tiier
                                            les deux coaiinaiidniits.  Actuelleineut,  j'ai  changé  la
                                                    de
                                            ~~c~sition mou caiiip,  yoiir  soiiknir,  t.out i.i~(.neiiieiit,
                                            mon d8blaiciueiit  et  ina  déiniilitioii,  dorit  M. de  Eoiir-
                                            lamaque est cliargC,  car Ileiiiieuii  iiiarr:iioic  au  secnurs.
                                            J'avuis  eiilev6  les  coiirriers  et  iiit,ercepté  les  lettrea.
                                            S'ils ne s'dtoieiit  pas reiidus ce joiii-lh,  qiii (.toit  le  14,
                                            ils auoic~it, le Icudeiiiiiiii, vingt pitces cil bat,t+rie fsic),
                                            et ,je faisois  pi~s;ier ùii  côtd ilo fort  Georgr, pour  foriiier
                                            une rioii\.elle attaque, l\i. [le l'Hôpital avec soi1 bntailloii.
                                                                                  le
                                            Je compte avoir !iiii  t,out:,s iries n~,ért~tioiis  24.  J'ai
                                            1111 vrai regret, inon clier chevalier, dr iie vous avoir pas
                                            eu ; vot,ra ordre de bataille 'est si bien que, oi  vous n'eu
                                            avez point, je  veux, au moiiia, illie  le  iniiiistre  le  lise.
                                            Boudainailue  e'est  très bicucoiicluit,  et,  pour  vous  le
                                            proiivor,  Ilou~ainville cil convient.  Ji. ne  aauroia trop
                                            me  louer  de  ines  aides  de  caiiip,  de  Lap,tuse,  dc
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