Page 40 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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d'haliiiaiit,  c'est-ii-dire,  <lriix livreu de paiii,  demi-livre
                                           do  lard.  A  l'4,oai.d  des soldats,  cniiiine je  l'si  régl4,  la
                                           ratioii  dc  gariiisoii;  seiilerni.nr,  s'il  ii'y  a  pas  de  pois,
                                           cornnie ils seroiit obligks de twvaillrr  et de railler, vciiis
                                           pouirirz leur  f~ire donner,  par  foriiic  da  dédoiiirnage-
                                           inent, <leilx OUCUS  de lard dc plus par jour,  ce qiii feroit
                                           six oiicea;  je  duiirie le  rnêinsi  ordrc ici  M. Srririet.
                                             Ditps  h  MkI.  <le  Salirevoix  et  de  Ecniijau,  qu'ils
                                           soieiit.  tiaiiqiiilles  sur  lcs  hoinmes  qu'ils  prételident
                                           s'être  p lissés ; cti. M. d'IIert,, qiie j'iii  fait major-gbnérsl
                                           ila ma divipiou, fera, deniainniatiii, $1 ciiiq  heiires, l'appel
                                           et l'exameii,   la distsiliiition  des  vivres, et, s'il y  n  uii
                                           seiil honinie, au delh des c~iiatre-vingt-iluattorze iii~ladcs,
                                           des soixniite-deux  des  Trois-Rivierc.3, des six dc hl. de
                                           Coiitseco'iir, et des quatrc  di~ldata dc  M.  Mnriii, il sers
                                           furt surpris dc sc vois coiisigut  au  fort  Saint-Frédéiic,
                                           j<isqiios après inoii dépnit, et coiidamué  liîichei rlii bais.
                                           Soyez-le  ~iissi SIIL  Ica  liateaux  qu'ail  ni'ii.  prêtds  A
                                           Ca,iilloii, qiie je  ri'ai  point eiivie  d'arneiier,  attrndu  que
                                           iious eu avons ciuiliinnte-deux.
                                             Si vous ïhüugieï qiielque  cliose B  la  marche  de  vos
                                           troupes,  sveitiusez-eii  k1.  Seriilet,,  coniiiiissaire  à  la
                                           II~RCP de M.  Almaiii,  j.  c;iiibi:  des  virics  hl.  Sermet
                                           aiirn  atteiitioi~ de  faire  passer  i CariIlou  de  qiioi rem-
                                           plrcr r le vide qii'il y niii.ii dniis les iriaqmiris dc La Force,
                                           par  ln  consominntiou.


                                             Je vous prie,  nioii  clier  chevalier, da  rcdniibler  vos
                                           attentioiis  ordinaire2  poiir  le3  littiinents  civils,  et,  si
                                           vous imagilii?~ r~iiclqiies nioyoiis  pour accClErcr Ir  loge.
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