Page 176 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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Longiieiiil,  qui  étoit  avec lui,  y  retourne  nujourd'hiii
                                          avec une douzaine de sergeiits  pour les bien  coniioftre.
                                          Je suis porsuadé que  I'e~inenii va  chercher  k  faire dos
                                          chemins pour  chercher b mener di1 canon vis-h-vis  tous
                                          ces gués, et j'y  voudrois des épiiilernents.
                                            I.es  oiitils ne  vous nianqiieront pae;  car je  vais vous
                                          faire enyoyer  ce matiii cent  pelles  et ceiit pioches;  s'il
                                          vous en fitut davantage,  demandez.
                                            Ilseroit bon que nos saurages doiinassent,une poiissAe
                                          aux travailleurs des  ennemis,  et  leur doiiiier quelques
                                          Caiiadiens  arec,  oii  volontaires,  pour  qu'ils  ne  iliseiit
                                          pas qii'ori leur fait faire la guerre  i eiix seula.
                                            La ville  aura pii dormir;  car ils n'oiit  poiiit  tir4  de
                                          bonibes cette niiit.  Je m'occi~pe aujourd'hui  de le partie
                                          qiii coiicerne la poiute  I.essP *.
                                             Bonjour, Monsieur le chovalier.




                                                                XCIV
                                                                              7 juillet  l7SY.
                                             Votre  remarque  sur  Io  c:mi;~ de  la  poiiita  de  l'ile
                                          d'0rlbns est des plus justes.  Ides pilotes,  qiie  j'ai  ici
                                          pour  la  <16coureite, la niiit, et eii  observatioii, le  jour,
                                          avoieiit  déjk  fait  la  même  remarque  et  oi>noliis qiie
                                          cWtoit un camp de vuiles.
                                            M.  de  Pensens prétend  qii'il  conimeny  à &tre aug-
                                          ment4 dQs le lenderiiain  de l'aff:&ii.e.  Ainsi  c'est  oii  uii
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