Page 174 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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forme dont voiis parlez bien siiivie. M. de Poiilhariez
devoit me fnire l'honneur de croire que je snvois la
forme, et que je n'aurois pas permis qne l'on eût, jiigé
un solilnt de no^ troupes, sans y appeler un aide-niajor,
et qiie l'eût-oi~ Crrit A iiioii insu, j'auioi3 bientôt fait
rccommnncer la pi.oc&liire, la preiili&r<? étant niille par
la fornie, et qiiand iiiêine il y eut eu B la ville conscil
de guerre et sentence, llarce que Poiilhariez, qui sait,
moiiis le dioit que inoi, igiiore ]lieut-être qiie, la forme
de la procedure éBnt iiulle, In seliteuce le devient. II
est vrai que, si on l'eùt fait ~ieiidre i iilon inaii, je
n'aurois pa3 fait reeoniiueueei la prociiiliirc, parce rli~e,
pour me servir des terme3 du chancelier I)aguesaeau,
cn écrivant la cour des aides de Montpellier sur uii
fait parei1,il leur écrivoit: "Le Roi d4sapprouvre votre
conduite; iiiais je u'ai rien à dbcider sur le fnit actuel,
puisque vous avez fait vider la compéteiice par la main
du hourreau ".
Vous connoissez mas aeiitimeiita p»ur vous, moi] clier
chevalier.
MOST CAL^^.
AUTOGRAPHE. - M. de Rarriezay a fait les signaiix,
dorit avis qu'il a vu beaucoup de berge3 diipasser le
cap et, demandc du accoiu,s. Je vieiis d'ordoniier qii'on
prenne les armes à l'un des eninps, depuis Giiyenno
jusqu'au joui ou a1iri.s la b... * et les dkcouvertes
faites. Nous verrons au jour. Je \'OUS doillie toujours
cet avis; je lui envoie des piquets.
La fixi de ce mot a été déchiré.