Page 153 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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152       LETTRES  ET  ~IECES XILIT~IREb

                                           On ne parle pxs der  ouvra-   Ilniis ce tenips je  seini per-
                                          ges cxtérit.ui.5 d. youi~oir ïaiie j.  suiiiirllement  B  Québec,  où,
                                          Québec,  pnicr  que  l'an  sup~ secondé  par  MDi.  le marquis
                                         pore que,  faute de  vivre~:on de kloiitcslm. le clievalirr do
                                         ne peut couinieiicei o  y faire  Lévis,  de  I\uiii.lnmaque,  les
                                          trrrraillri  r]u'autant  qii'il  en  officiers de l'btai-rnajai <le 110s
                                          silia nrriré de E'rmot. ; car, si  places,  dont  je  ii'rii  jsinsis
                                         Ir  coritmire  etoit  possihle  ct  douté <ILL zèle et de IH  hniiiia
                                         qu'on  eiit  asssa  de vivres, ce  rolonGl non plus que de telle
                                          ne seroit point i négliger.  Il  Ai. toutes les différentes trou-
                                         faudroit meiiie y iiiattie de la  pee qr~i sont  dans  la  colonie
                                          célérité.               et  qui  en  font  la  force,  me
                                           Le  marquis  de  Dioiitcalm  mettront  j.  nièrnn  <le résister
                                          reiiuurelb  encore  à  XI.  Ir  à  l'sttaquo  la  plufi opinihtre
                                         mniquis  ile  Vaudreuil,  qu'il  (rie).
                                         est ]rat, ainsi que M.  le che-
                                         rÿliei. de Lévis et M. de Bour-
                                          lemaque,  de  se  chztrge~. de
                                         toute opératioii avec tel nom-   9 Montréal. ce SI rn;irs 1769..
                                          ore de troupes qu'il  jiigrrÿ  ii
                                          propos,  swf à  ne  hire  iquti
                                          des  iiinniriivrrs  proportion-
                                          nées  d  leur  rioiiihie,  qu'ils
                                          sont  bgalemeiit  préts  A.  se
                                          charger  de  tous  les  ilétails
                                          qii'an voudra leiii  ïniifier,  <le
                                          toutes  les  iec8,rinoi.--ances
                                              peut y woir i faire et de
                                          r101,iier  des  oidies  en  exécii-
                                          tion de canr de Di. le inaiquis
                                          de Paurlieuil puto~ir où il ne
                                          pe~it 8ti.e  lui-in8mr  en  yei-
                                          SOnlle.
                                                       ~~I~~IT?&I.>I.
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