Page 152 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961

LETTHF,~ ET PI~CEH MILITAI'CS
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qui seront destinés aux 0p6-
raiions par terre qu'A celles
de la riviere, couime mieux
& coudiiirr. ehsloupes, brii-
lotsl etc., etc., ctc.
Les autres ~~récsutiunspaur
les oainpagnea depuia Snint.
Barn&bé et la Malbaie sont
oarnprises dans le projet que
j'arrêterai pour cette partie.
'roua ces détails hien faip Pour oe qui est dei inqui&-
et bien orilonnés rassureroient tudes des esprits timides,
les esprits, empêcheroienz les Passuranoe des chefs et des
têtes de tourner à 1s première officiers qui mettront ces cho-
alarme, abrégeroient ln beao- ses à exécution, leur fera
gne qui sera encore zrop t'oite. promptement reprendre In
Si le cas arrive que lZennenii gaiété si naturelle au Fraiiqoii
vienne: an sers persuadé de et au Canadien, qu:~iid il est
deux choses, l'une que, du question tlt. souteni? lsglaire
monient que les eiiiiemip pn- iles onnes du Roi et de dbfen-
roitront dausle golfe: oii auvs (Ire leur patrie, leurs femmes,
toujours le temps, l'autre que lours onfants et leurs bieiis,
tout homme est en état ide
faire oes dispositions ; et moi
je dis que l'on peut n'avoir
pas le temps, que I'aîit-an, oii
nuraencare dm3 cos maiiioiits
do crise à saiigei. à bien des
choses qui auront étéouùli6es;
que l'ofioier général Ir plus
intelligent, le plus acooutumé
anx détails et U savoir donner
des ordres, ne seloit pas
encore trop bon pour les
i,égler avoe l'état - major de
Québec.
Tl y en a. de plus dun genre
ot dont la. seule prévoganoe
exige de l!a.ttent,ion.