Page 135 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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chemin couvei? polir. en soutenir l'attaque da la maniPre
~iiivnnte :
Les braiiÿlies di1 çhemiii oouvcit ayant dis-iieuf: ri,>@
ou vingt-deus toises, on tnprsndroit cinq ou six ii com-
mencer du rentnnt polir les renforcer eu ii~clt&ut a11
pied de 1;i hari-
guette une ~CIPSC
palissade j o i n -
tière A, nbeolu-
nient cachte clii
dehors pour ii'rtre
pas sri prise a.u
canon et lloiir lie
donner a u c u n
' soiipl~ii. Siir le
talus ide lit ùan-
quctte, aupied dr
cette lialissade, ou
creusera un kalit
fossl H de deiix
ou trois piede de p~ofondeui pour recevoir les grenades
des sailhiit,~. Si le chcniin couveii. hiit large, oii en
cituseniit uii pareil en C. On pratique deux liani&res
en D et eii 11: et deus aiitres s~i F et eu G.
Lorsque l'ennemi sernit sur le point de don~ier l'as-
saut, voici quelle serait ma disposition, treuta hom~ues
dans elinque demi-liirie, dont dix chargkgés uniqueineiit
de laneer des ,qrena~lee et des ortificee. et les vin@ aiitres
?i faire iin leu continuel de ~noiisqiiet~i,ir sur les sail-
lants au moment qu'ou les abandouneroit, ciiiqiiante
hommes à chciin des deiix reiiLraiita qiii dolit ~ntïe 18s