Page 130 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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LE~TRES ET PI%CCS  YILITAIRES     129


                                   JI  en enipéc1:lier  l'efïet, soit avec  (les barils  sciFa  par ln
                                   iiioitiC,  soit R  force il?  terio ; in:iis  il  faiit  qu'il  entre
                                   clud~lues grenades dans  leur  coinp~isition pour  wrvir
                                    do frein aiia plus  enil>reasile;i.




                                      Aprbs  l'6tahliiseinont  [les  Isiittericu,  l'e~iiieiiii pr4-
                                   sniiiei.;i poiit-6tiea3sez  do 1ciii.i effets et méprisera assez
                                   lu place polir  s'en  tenir llr  et croirc  lioiivoir  la rédiiire
                                   sana  clieiiiinrr  daviiritn.gz.  Si  cela.  arrive, los  auaii.34~
                                   di,ivorit  le reglirdcr  coilime  li~ liliis  grniide  ft~iite iqiic
                                   ]!nisacnt  faire  les eiineiiii.i  et cc  ilni lieut  leur  donner
                                   lien  nria  loiigiie dhfeiise.  Sitôt qii'ils l'aiiront  i.emniii1,
                                   ili iloivoiit faire leiir capitril de  riiéiiager  lciir', lioiiim:s,
                                   lciirs virrea, leiirr  niiiiiitioiis  rt  te nettoyer leurs fosds,
                                   rQpa.rer leurs  pnraphti,  raccoiiiriioilcr  leiirj  blinilages  ct
                                   lo111.u cadïiiinti?s, etc., etc.> etc.
                                      Ils tloivent  donc no lins Iialanïer k  diniiiiuer le noiii-
                                   bre d'hoininos  ex1)olii.r:  Q  l'esccptiori  des  ti.a\railieiirs,
                                   qui,  de jour,  doivent ps6parr.r  tout ce  qui  sera  ritces-
                                   sairc ponr r4pnrcr de niiit tuiis leu parapets.  On pourra
                                    riettopcr  les fossLu  de jour.  11 faut  avoir  soin  de  les
                                   fairc  d6comhrer  esacteiiient  tolites  les  gardes,  autre-
                                    riisnt les iiLi.oiiihres  s'accuiiiuloi-oient  :i  lin  point iIn'oii
                                   regarderoit  comnie  ;LU- less sus  dos farces  11,:  la  garnisor1
                                    de les enlever.
                                     Puiirvu qu'on  ait tic-wiimup de  fer, (12  charb:~ii et dea
                                   fnrgw, on lie  doit  pas  Utre  orn1)niiasjb iI'uvoir  de qiini
                                   rüccomnioder les  liawpets.  Il  fanriru, toutcs  les niiits
                                    remplacer les piécu3 qiii  auront  Btb  enlevhes  le joiir,  et
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