Page 136 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
P. 136

denii-liincs  et les  fiicei  du  bast,ioii  ilo la citerne.  (;es
                                    ciniinante horiiines  fclurniroicnt  liiiit. oii  ilix hoiiimcs  A
                                    chncuii  des  trois  saillants  voiriiis,  le~iliiels aiiroient
                                    oidre, sitat que l'eriiiemi  d6boiiclit.i.nit. ide  se r6tirt.r  par
                                    les bai~ikres F  ot  G  eiitre  lca  iloiix  l~nlissatles, où ils
                                    devroierit  f;~ii,e iin fcii  dos pliis  vifs siir les saillaiirs, de
                                    m&ine qiie ceux qiii  revoient  en 1% et en 1. Le reste de
                                    ceiix  iliii  soiit  <lei~.ii:i.e ltt  pilisvade  da  1 I) E  H,
                                    seroiriit nlnrs occiipts  :i  fcfuriiir des  fiisil3  chargés i~iis
                                    tiiitres.  Si l'annerrii  nttnqiie les rentrants niissitôt après
                                    les saiiiant.i,  <:rus qui  3iiiit  entre  les  deus palissades
                                    rriitaeiont  par  les  hi~rvi4ves I) et E,  rt  tout le monàc
                                                                       ;
                                                                         dPs
                                    fi.m  Ir. feu  le  pli13  \.if  de  r~ions~~i~eterie qiie l'en-
                                    iiriiii ~>~iroît,~". la cretr  iIii glacis, IIÙ il liii  sera impos-
                                                sur
                                    sil~le ide  se  iiiainteiiii.,  Gtniit  &  ddcoiivert  des pieds  h la
                                    t,$te, ct de srinter, A  cause di, la àoiihle palissade.
                                      On mettra en  nuti.e iliiinzr  lioi~iiiies ii  la tid~erse qni
                                    est devant la bai~ière di1 bu,stioii <iii pavillon,  et  virigt-
                                    ciiiq  ilii i'eiil,rant,  qui est aiitra  1% graii~lc 11cnii-lune et
                                    les ba8tioiis  des four?.  Ces  viiigt-riiicl  li<iniiiies cluivriit
                                    fournir tluelque~ sentinelles le lorig ~lr l'escnrpeiiiciit  dos
                                    latiiiies et ù la  baniPre vi~isirie '.
                                      Le reste de la garnisnii, peiidniit  toiitr 1';4ttarliie, dr,it
                                    border les  parapet,^  de Iti  place  et fai~e iiii feii  ciiiitinuel


                                      ' Cetic disposition  de  chemin  couvert  eit  cxr~llente et,
                                    ooiume on dit ici, a  raujours  réussi.  .Je  <:rois qùon ne peut
                                    mioiix  faire  que  de  $7  préparer  d'avance; rliiniid  insrne  oir
                                    n'oserait  ?outenir l'artnqundu  chemin couvert  Lr* srconilcs
                                    palissades  dans  leu  rentrants  aaïuicnt lc  soldat  er  Ic  font
                                    rearer WBC  confiance dans le chomiti courart, où  il est sûr ~lr
                                    ne pouvoir  $ire empartr.  D'nilloiii~ les  prCyiarritifs de oettn
                                    diaposition ne peuvent nuire.
   131   132   133   134   135   136   137   138   139   140   141