Page 63 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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convertis, du rnoina qdpuea-nns, en agglom6nooni de tandia. Je 'A
mpp qne pareil9 d1iges exiatsni ailleurs. ?
Im oonditions ixmlnbm de l'habitation de Ia & onaièm ne
mnb pas si qparenh que chee les misérem; m oh, nous ne
qoe cette importsnta p.die da In population soit
logée, oar il y a quantité d'exwptjona. Ceci s'a-
auasi bien qu'il l'homme qui Blève mie fda
, +Le premier loge dnns nw &n enmmbrée, ;ans ait, managant de
r.
tomber en ruina; le saand, $il habite la partie enMa d'une ville,
eat' forcé soit da loue^ une mireérab1e maison en & androit, ou de se
refugier chez un on plnsiem de ~HX semblablaa. Si ce dernier regte
dans na fsnboarg, il il put4kre réduit 3 se blottir avec toute sa
fde dans quelque hangai &par6 en une on deux pih et qui de
vrs servir de enieine ou d'appentis B la maison qu'il se promet de bath
esptlranaee. sont lentea B ee rihliser, et eanvent lui on quelques
membratt de sa fde menrent em attendant la venue du foyevio-
ti3nee de 1'indubritB de leur logis, Ceci nous donne un exemple
du travailleur dont lea +ulataum d'heubl~g aat Sait une victime.
A fom de m e Rompeara, iIa lui ont imposé l'idée de se hire un
foyer, tout en amhant qne la chose serait pour lui me quasi impod-
bilita Cet homme a pay4 trop cher EU tefie et il se fialise, mais trop
que las fraie de construction d'une maison, pl- les mt6rêts et
lee paiemerrts annneis, sont un fardeau plna lourd qu'il ne l'amit bu-
@, C'es?, 19app&t du Spgculataur d'immeubles.
L'extrait qui suit noue. montrera que I'histoire de
dea natione ae réphte quant anx conditions de l'habitation:
CZ)epuia un certain nombre d3ann6es il s'mt op& non
pa9 &nt an changement de propriét.4 qn'm changement d'ii-
sage de cette propriété. Des maisons d'habitation bordant
des rnee entihes, convrmt des car& de terrain, jadis les,de
meures de familles appartenant une b m classa eaciale,
sont aujourd'hui tr8nSfor~11ées en logements B étrigss &;par&. A.
La résidenos est devenue une maison appartementa. ha
carridors et l'esdier ont des passagea en commun; c'est par
13 quo cirede l'air vidé des pièees qui ornent à I'inttirienr.
LPt'hiataii.a d'une telle maison est ma lh de lamentables dé-
générations, D'de en année, la sit-uiition daggrave, lente
ment, maia rsoap sûr. Cette maison deathée B accomoder '
une ide famille est maintenant encombrée par qlutre fi- fl
railla ou ph. Lee lieux communs maient aussi B une fa-
de; au joud'hui, patre fdes en font me6 Il faub an