Page 62 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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tioon;  OB la trouve ~urtout pm.4 1-   miséreux;  qnelque  part  $3
                                  pnisse êw  le -dis   e&  ane maaee pour ha aitoyens de la iod$é.
                                  Oomme las h&ie dont nous emtado~ parler  si souvent de  noe
                                  jonrs,  et que noua oonnaÎtwns~ plus tard, ce foyer ghBmtenr
                                  & rndadies eet dh utme plna on moins pdiientielle, mais il 6
                                  te.  Lg fsndie, semblaMg am  pin-  de 1s tentam.de, empria0m.e sa
                                  proie dana  ipes  mm, l'mm et 1'6bdTe  pour  ainsi b impercep
                                  tiblepmt, maïa avec rqidig.  Ses        tombent  en          et
                                  ccmtmctent cette maladia de la vine modenie, la d8géntiratioa  Veat
                                  ane infection qui  engendre d'antre3  kifeetiam,  une bave qui,  se r6-
                                  panàant  par  le taudis,  enrôle  d'~i.utm habitanta  de  tan&  snrr eon
                                  pasaagg b    t  ses vxctime frappbs d'inertie,  htiea par la pa-
                                 mase,  I'ivzagoarie  et le de.
                                      U
                                       . . . . . . . .&ne ca &es  sortent de ià on qu'ils  y restent, ih ne
                                 sont pas moine condamnh 3.  souEr,  fante de-pa&ir  latter-mntm
                                 la maladie.  Les aolonnes de journaux sont       de  rapporta sur
                                 lrr  tubernulme, la pneumonie,  h diphtérie, 0t ~ntm maladies  de  ce
                                 genre dont la  case est la mauvaise nntrîtion, l'air  vicie et l'entasrâ-
                                 ment.  Le teindia eat la grande Iépre de k cidisation; c'est  lh que se
                                 développt las  germe.3  des mWes qui,  dàs qu'elles  amont ~tteint
                                 leur matmit.4,  s'danoemit  an dehom,  dépeupleront les ma da  nm
                                 vilha.''
                                      Ceet parmi  les dimes paum que  k malpropmt8  et l'indu-
                                 bntg r3pazit en maîtmsw,  qu'eu=  engendrent la maladies Mec-
                                 ~~ la mort, la d&3néretion  8t le urime.  Cet Btat  & choses de-
                                 mme souvent en l6thagie dans les qdexs qu'habitant les cl-
                                 plus siséeç, mah un jour vient où il se &veille.  Zbi maison,  antrefis
                                 somptueuse et. A la mode, est divis& & subdivisb;  elle devient le b
                                 gm..nt de gens de plus en plns paumes.  Le d6hbrement et la ma-
                                 pidation y &ment-l-     &agi  et y apportent Is degéniiration; le
                                 mal a   d  ee pro-   rapidement jus4uPa ce  qu'un  jour  le  qnartier
                                                                     n
                                 n'est  plus qu'une  ~  ~  t  i  de  otandia.
                                      @est  par une pareille Bvalution que cea cloaques se sont établis
                                 et eontmnaf a  se multiplier  en divsrsôs  parties du Grnadla.  Les
                                 pudm de la ville de          qui, anx p&ères   anni%  de la ml*
                                 nie,  alors  que  l'Ontario  et  Quebec $appelaient le Haut et b &s  Ca-
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