Page 160 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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Là 7%. & M i , * & nmnmemruçnoas de manimis
par oomitet
H. O~LEB: Lea sujets sont nombreux, réparthez-l& entre la
di#%rents membrea. Amnanona aneune dimiun g&~bfe am
qnelqu'un des mjeta que nous avons t5 l'étude?
LE BE~ÇKIZUE DEVZBED: 'Da mot seulement aur kt premier
sujet. Les paroles prononch par le ministre de YAgricultuw m'ont
m&d ce qri-e je vais diw. I! me semble que la contamination dea
cmm d'au rév81e une ch-. Uhape as et village ne ~'00enp
que de sa propre protection, ne pense nullement aux personnes éta-
bli~ plus en aval tmr le même cours d'eaii. Prenons la de d'ût-
tawa. Comme je l'ai dit au SQnat, loque j'ai phenth mon rap-
port, la vine d'Ottawa déverse aes égouts dans la riviàre Ottawa, sans
passer nrinenient aux autres piII- et vihgea d'aval qui, par n b
si% doivent faire usage da l'eau de la mhe ri*; mab la gens
da la capitale jettent les hauts cris, quand Aylmm, un petit village,
parle de d6veraer sea @uts dans la rivière, et ils menment d'intenter
des pnrsnites en do-; ils s'offrent même ii payer la moiti6 des
dépenses d'bbbtion d'un 8ytdArn.~ de purifiention de cm égouts;
mais la même vine ne ee mueie paa, le moins dn monde, dm dangers
I qu'elle cause la vitle de MonW. C'est la rivIè~ Ottawa qui a-
gendre les fih- typhaid& 3 NonW.
Nous voulons nous mettre en dehors de ces wnsidÉnrtZons lwr-
les, d nous 4lever B la hauteur d'un ph national. Je ne vois qu'un
moyen d'y arriver: 6tabl.k il hm un Bureau Central, format
partie d'un des d4prtemmta du semice fédéral. Le ministère de
l'Ag&* veille à la mtB des animaos. Si l'on décan=
des cas de gamme ou de tubedm ehez lm animaux, dans une dee
provin=, notre ami, le ministre de I'Agricultnre, dépêche un de
st%i q10y8a aur les lieax, pur abattre ces animaux et indemniser
1- pr~pri&ires. adais, ESUS doute, 1- bêtes B cornes et les anhaus
ont une cede vdeiu p8midiaire. Quant aux Btres humains, je
1 suppose qu'ils ne valent rien.
Lii
X FISITER: n'sst paa Ta question; noua pouvons abattre un
animal pom pAvenir la propaption de la maladie, mais nous n'avons
pas 10 bit de tuer nn hamifie, me femme ou un &t.
LE S~A& DEVEBESL: VOW ne vow dhgeriaz mhe pas
I pm tnar nn homme;. Je me suis entretenu aveo M grand nombre
de m&3eoins, osciers de sant6 de diveraes provinaes et au- bus