Page 155 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
P. 155
M. Fm: 16. le Mident, je mis qas ~ons c' 5une
methode p laquelle cette C0nférem-e pourra dver B queique chose
de déhi. Je suis d'opinion qdil ~ous semi n- avant de
ver B faim qaelques recoarimandationg d'obtenir la mmissance
des faits. Cette Conférence ne saurait guère pdamter aucune propo-
aition avant de savoir lJBtat exact d- aifaims d\z pap, et comment g
de
remgrtier, $3 y a n~'t8 le faire.
des
En os qui mnwrne Ia con~~tion eaux, I>impression qui
$est dpandne an OanadaJ au moins pmmi le peuple, est que na
'J
rivièrm de 17&t, dont le volume d'em eat Bnorme,ina pondent 6tm
wuillées, par me popdation dont le nombre Qtait ai Ilmité dmt
les pwmi&res années du pap Je crois que cet 6tat de &oses n'es*
-
-
, plas le nôtre aujourd'hui, et que la ant ta mi nation de nos Rvièm est
maintenant un danger Al, qua même notre majestwnx Ssint-Lu-
rent pent être corrompu B mesure que la population qui habite ses
rives angmente en nombre. Quant moi, je ne le sais paq mais mm,
1 m&ew mila n'ignorez peutatire pas jusqu'à quel point sont md-
. lh les eaux de nos rivi2res. Je ne sais pas Bi, dans tant le pays, on + -
: fait des euidps sdhamrnent exactes et nombremes ponr que nous
a
pubions être certains que ncm mors d'em sont dans un &t qni cons-
titme un danger pom la s d A la Conféren~e de Waahùigton, que
4
convoqnait la Pr&dant des Etabunis, il y a dde cela une année et
demie, et B Ittquegle iuaiskürnt qnelques représentants da Chda,
une 6minente autorit6 de YEbt de New York déclara qae toute l'eau
dn lac Erie était ai impure, que l'on ne pouvait plas appeler ce lac
1.
un bssh de &dhmta.tiaa, mah plut3 un dépotoir. Je ne wurais
4 dire jusquy2i quel point une telle déclaration ert conforme B la 6rit6,
mais la chose a 6té dita, et 1w nornbmuses personnes phentes ii wtte
w 2
assemblée, et qui dintéreepiaient vi~ement h santé de 1'Etat de New
Bt
' York, et calle d~ dlea des borPls du lac Erie, parurent ne pers
douter. Si tel est le cas, il $en Sait, spparemment, q
Nkgars est eorrornp11a a& Le Dr. Bryce a m&r6 que l'on
A rait donner aux villm &ablies sur les bords da Ls ririam
7 d'un lac sita6 à la têh de cette rivihe, et partant, l'eau du lac ETiei
; pour lm Pilfea 6bbb snr le9 borde de h rivière Niagara. 8i la dé-
&.ration & l'antorig de PYEtat de New York est vraie, 9% Ywu du
I lac Eri6 W. giit&, il sera impossible de s'eppiovlsionner en cet en-
droit. Je cite ce fait ponr dtmqntrer qn'il est a6assat.e d'obtd
-. d- données avant de faim da -t.~tcommiuidatiow.
T