Page 150 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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jus4='& la  ~.~~riins pwahaiae.  Je derntu.de dono   formation  d'un
                                 corni% lqud hdiera Ie sujet,  now soumettra qudcpea DJOJWB  que
                                 nous .disBuhmns a notrbour.
                                         DE. FA@-:  Je suis tout à fait de l'avis  du Dr.  ~impson.
                                 Nous avons bru mtenh, aveo beaucoup d'int$dt,  et nul doute avec
                                 pmfit, ce que mon ami le Dr. i%~rmour a dit sur ce  qui se fait à BR-
                                 &a  et B hdcatoon,  Xom rtvona appris de quelle mm2re l'mu  &
                                 pris0 dans In rivibe, pde par  leurs  Bgouta  eg rendne à la  riviBre
                                 en @eUt  Btat.  Les citoyens de %gins  méritent das f&eitationa,  et
                                 je oroia que nom  denia-  les £&citer  ponr  avoir hbli un tal état
                                 hygihnique en leur ville.  Je ne cmis pas qn'il  y ait &wt de sembla-
                                 lrle au Canada  Mais nom ne sommes pas  ici  miquement pour  en-
                                 tendre ces  choses.  Nom but  est  plu8 important que ceh; w que
                                 natre s6jou.r iai est tras MtB, je demande au prési-.dent d'approuver
                                 l'opinion du Dr.  Binipslon qui est ad La mime, B savoir, qu'il  fiut
                                 établir qdpe &os  de bien d&i:      Noua  ne ponvons pas  tm6ter
                                 de ces qn&ions  corn mus le devrions, mis nous avom fait rm pas
                                 en avant,  et je tiens à.  £&ficiter les hommes  qui  ont  orgd cette
                                 Canvention.  Je crok  pe le Canada n'a  rien vu d'a&   important
                                 dam le pas&.  LB wp viant  do mn&e  le prix de h question
                                 de h kt& Le penple ne Adh p tonjoura  1'Bhh des &osa; kl
                                 ne oomprend psa  l'importance  de mu@er  B  l'existence  du  mal.
                                 Quant à nom, noua S~FOII&- que si l'on  permet. aux mdi.ti~n~ blu-
                                 brea de l'habitation de aa hlopper, sftns leur appliquer, comme l'a
                                 dit IL Siltozi,  la rem&   dont la science  diapose axijoard'hni,  lea
                                 perh de  vie seront  @lm  que  la  pende seule  psut  notu ehyer.
                                 Je mis que si noas fabons usage de nos connahces, ~i p&ntOna
                                 nos  conclnerioas  au  gauaarnemmt,  nous  qbtiendrw  des  améliora-
                                 tions qui semnt un crédit pnr b pays.  2&is,  nos dBiibérations de-
                                 && PTW&$ WU0  tO-B         P~DS pmtig~e.
                                      Chaqne piohce davrtut Btr0 &6e       an m qui  %~i fait daris
                                 Ia autres pmvinoeg noa pas  par  l'inhrddiaire da ca comité,  mais
                                 les  d86rentes  etitorith de  Santé dedent échanger leurs  ~OIUI&
                                 ganeas avw 10 Directeur Gh6ral de la %nt6 PuWqna Noua devrions
                                 nous tanir au courant de oe qui se p  e  dans Its à;ff&entes parties
                                 du  monde.  Aujourd'hui,  la  situation est  grare  h les Etats  qui
                                 touchent B ma province, mais je ne la connais pas.  XT me semble que
                                 le gouvernement a pur devoir de nom fournir ces rensdpements+
                                 Nous  sommes mena&  du  cholbra, et,  bien  que  je  demeure sur 1s
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