Page 154 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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ws difEcnltb,  un mwil @dl soit &tatif,        mit admi&-tif.
                                Je crois,  avant d'aller plus loin, qu'il  serait pré5émble d'enten&   Irt
                                Iwtnra da tons les snjets du pro$rrirnme,  et ensuite notu saurons sur
                                quai devront porter nos discnsaiom
                                     M.. ?!&&TU:  J'ai  &outé,  mmme  tous,  arec beaucoup d  9  ~  t
                                la 1ectm-e du Dr. Fm. Je mois que sa manière de présanter son
                                sujet est la forme 1s plus pratique que. l'on  puisse  désirsr;  il serait
                                il mater p~ tous les au*    sujets fussent pr&ent&  ainsi, et qu'un
                                cDmit6  fat choisi pour  en Blabomr  les (x>nclusions.  Bien que  nous
                                ayom à discuter Ia  question des corn d'eau,  lm oratenm de ce matin
                                ont saute, snr les Arums thhntpentiques et la falsification dea produits
                                comestibles.  Je me pemeta de dire, en pwn& que je mis d'wcord
                                avec le Dr.  Fagan,  lorsq~i'il déclare qne lai hi conceniant la Falsi-
                                fication des Alimente n'a  pas obtenu, dam le pas$  las résultats qu'en
                                attendaient tout d'abord  les promateum.
                                     Je dois,  cependant, donner beaucoup de  félicitations an minis-
                                tère  auquel 8 je  sais  attache,  le ininistere  du  Revenu  de l'Intérieur,
                                sous  l'adm~tion dn  chef  actuel,  pour  une mwue importante
                                qui, je erok, est  destin& en fin de compte, à rendre la Lui plus pra-
                                tique que danri le     Cette Loi contenait, en sa  teneur psimiti~e,
                                une elause qui donne an Gouverneur en Conseil le pouvoir de d6bir
                                las aliments, d'en  limiter les mbinaigons et de les déhir; &, vn
                                que depuis les vingt-cinq  mnées de Pesistence  de cette  loi,  on n'a
                                jamais fait  appel  B  &te  clanse,  le  pou~oir d'a  appliqm  les
                                dispositiong, est  sans doute  affaibli.  Personne  n'est  blââhle de
                                ce que cette clatm n'ait  jamais éf4 mise en vignenr; il fallait se rem-
                                seigner lenteuidnt  et  graduellement, à la  suite d'me &rie d'annh
                                afin  de ponvoir, en toute sûret4,  formuler des dglements sons l'a-
                                pire de mtta clause.  Je ne veus pris POU  enlever une parLie de voh
                                temp, ni vous parler d'un  sujet qui n'est pas directement çur le pro-
                                *-8, pour 'voua expliq~~er en détail ce qui  a 6té fait; je  me con-
                                thbrai  de  vous faire  eodQe que les d&finitioiidi et h limitation
                                du lait et de ses prod&  du grain et de tout ce qui en provient, oc-
                                cupent  maintenant l'attention  du minist&re du  Revenu de  lPInt6ri-
                                eu;,  et je  p-   que d'ici  2 un an, on sons peu,  ail=  feront Yobjet
                                dyne loi,  et nous saurons que les marmelades qui n'ont  autre
                                qe le nom, et le sucre d'&able qui n'a  jamais  éf6   pmduit de 1'8
                                rable, smnt des choses du pas&, ou,  au moh, seront fhriqnk Mn-
                                forrnémeat  a&  r@lernents Gtablis.
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