Page 61 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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JULES-PAUL TARDNET  185 1-1905)




                                                                                                      c
                                           @m.  uc Maur  du  piamk  rwnn pwarit sur  ~       ~   n  du Qu&=.  e
                                           Pwrkprffrk(1%95).~&l'IMlvelnsrwirpum~da~n~gulm
                                           pcnmian pas comme luL II s'est doMa romme mlsdan k swegrrder lo madon civilkmlcn ei
                                           dgkmdes nurçlbd'l\mçrlqur.Duir I'mntpmpos&son rwmnhrhpatr*.iidanonce k
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                                  [Un pkbcateur] ap@e  les rom=  une i       d  &O-.    Ji suis pas éioigné
                                                                                          ne
                                  de cmk que le digne reiigieax a parfaitement raison.  Le roman,  surtout le roman
                                  modeme, et plus paniaJi&emcnt encore te roman frrnçais, me para?t h une arme
                                  f@    par SÎmn lui-meme pour ia desrrucrion du genn hdn. Et  malgré  cette
                                5  corivipion j*&   un roman ! Oui, et je le &s  sans xnrpt.de ; par la raislon qu'il tst
                                  pamis de s'empam des &cs      de guem de l'ennemi et de les faUt d  r  ii battre
                                  en brkhe la tanparcs qu'on assi&.  C'm meme une radque dom on tire quelque
                                  profit sur les dmmps de barnille.
                                  On ne  munit  contester  Pimce immense  qu'exerce  le  rom sur  la  drC
                                IO  moderne. Jdes Vallès, thin peu suspep, a dit : a Oimbicn jh  ai ai de ces jeunes
                                                                                                 u w saud
                                  gens, dont un passage,  lu  un macin,  a domiilé,  d&t  ou refait,  E
                                  l'*&rlzac,parmple,oo~eda&tua&Ie+~p                              lesmères!
                                  Som ses pas, que de conscientas kades I  Combien, pamii nous, se sont perdus, ont
                                  aulé, qui apjtaicrn audasus du bourbier oit iis allaient mourir une page arrachde i
                                i s  la  Ch&&  61C?>Pdnt-. Amour, vengeance, passion, aime, tout est copié, mm. Pas une
                                  de leurs Cmotions n'ex  &anche. Le Livre est Ih-
                                  Le mman  est donc,  de  nos jours,  une puiEEance formi&ble  cnae  Les  mains  du
                                  rdâittur littéraire Sans douce, s'il  émir pibk de  &ruk  de bnd en  ~1)rrtb4e,
                                  me terrible invention, il fiudrait  le f&,   pour le bonhm de i'timitt ; cki: les
                                20  supp8ts de Sam Ic frront rou'ours d  r  beaucoup plw à la caun: du mai que les amk
                                  de Dieu n'en        "rer damPga  pour le k La même chose pr se di je
                                  CrQk desw219~ [...]












                               1.  Commenrez la métaphore d'wdre milmlre.
                               2.  Quelle all4gorie illm la dkhhce qu'wmîne le roman ?
                                          ncadiction majeure relwez-vous dans ce texce ?
                               4.   Pourquoi l'auteur kit-il explicitement référence au mman fançais F
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