Page 63 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
P. 63

ENVOI AUX MARINS DE LA C~PRICIEUSE
                                                  Quoi ! déji nous quicur ! Quoi ! sur noue aii&tsse
                                                  Vmir jerer sitôt un  voile de tristesse ?
                                                  De contempler muvent votre noble dtendard
                                                  Nos regards Hémient hic une douce habitude.
                                               5  Et vous nous l'devez ! Ah ! qude solide
                                                  Va  crter parmi nous ce douloureua ddpart !
             auM noedglq&u      psk  0-
             Cdmde a munriu comme le ppemlar
             ph uiaiaeiqus du  Canada  fm@s.  Si.   Vous partez. Et bientôt, voguant vers la patrie,
             prr  son  Dgc.  il  prkida  k  rnowmmt   Vos voiles salueront cette mère &ie  !
             ~deQudbec.ilenunoi~snQnrniiS         Qo vous demandera,  là-bas, si Iw Français
             ~i)dmsrhpomno:~nsme
                                               IO  Rrmi Iw Canadiens ont retrouvé da fikres.
             piodqur. Ga6bïiaon  de lMrasm Sn
             pkLsdeh~dehvuillerseetdeb            Dires-leur que, suivant les uaccs de nos +m,
             mwt-h*pardsdatpéananbrair<           Mous n'oublierons jamais leur gioire et leurs bienfaits.
             u~amp8EtiCsrdem~m
             dala vk  ratannina a &l'.le  WC
                  a  164  wmpd f  I'occlsion de  h   Car, pendant les longs jours où la France oublieuse
             vanri. da h fr@m  hçalse La bpndtriPz   Nous laisrair  nous seuls la cadie giorieuse
             h 13  [uik 1855:sigul  ds b nprtssdu   i5  De dtfèndre wn nom contre un nouveau destin,
             nppom  o&dak  interrompus,  dapuis  h   Nous avons conservé le bdhr héritage
             ~.erfu@taFrUKeeckGria~
                                                  Légué par nos aïeux, pur de tout alhge,
                                                  Sans jamais rien hisser aux ronces du chemin.

                                                  Enfânts abandonnh bien loin de notre mère,
                                               20 On nous a w grandir 21  l'ombre turdlaire
                                                  D'un  pouvoir trop longtemps jdou de sa grandeur.
                                                  Unissant leurs drapeaux, ces deux reines suprêmes
                                                  Ont maintenant chacune une part de nous-mêmes :
                                                  Albion notre foi, la France notre cœur.

                                               3 Adieu, noble drapeau ! Te verrons-nous encore
                                                  Déployant au soleil ta splendeur uicolore ?
                                                  Emportant mec toi nos vamx et noue amour,
                                                  Tu vas sous d'autres  cieux promener ta puissance.
                                                  Ah ! du moins, en  partant, lknous l'+rance
                                               30  De pouvoir, ô Français, chanrer votre retour.






          --   -               1.  Quel & pmduit i'udlisation des puinrs  4-   !
                               2.  aker 18ana)yse knnelle de a potma : vem, amphes et rina
         i  baa*,6arme
                               3.
           h~-m  Rete\~3~et~tezIBJco~tso~etiesmétap~.
           km&~;ts~an          4.  Quels nx~t uaduknt la sentiment d'itùamb~ ez queb autres, I'mr du   pddn
           MmakSLide              delabce1
           GHCa*ahaiN          5.  Qu'est-te  qui pannec de nUa ce @me  au minndnw paçrlodque ?
           axK&kqk*sournw
           ai hava^^(
           fsPasUvlr

                  Le romantisme  patriotiaue
   58   59   60   61   62   63   64   65   66   67   68