Page 276 - La Généalogie retrouver ses ancêtres

POL PELLETIER (née en 1747)

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I MOURlR C'EST UN FASTE
Vim 3 heurcs, 4 heures du matin, elle uffssille.
La p-tion commence.
Je la sens se pniprer-
EUe &ph son visage qui était &àid sur Ir &, elic le redresse peu a peu vers le cenirr.
5 Je dis à i'infirmi&re : r Elle bouge. 8
EUe commence A ouvrir les yew, lentement, péniblement.
Je dis A I'infirmi&re : Elle ouvre les yeux. rn
EUeh un point la-haut, très haut, loin.
lhw ses yeux, une volond.
10 J'ai ptur.
II est 5 heures du maUn.
Ma sœur s'est bée, de entre dans la pièce,
cile s'approche du lie.
Je m'mbnce dans les milaes, je combe A genoux sur le plancher des milmes.
IS J'ennnds leaidemasam: *Maman! u
Je m'dance !
Je hurle : * Réveillez-vaw !
O
En deux secondes, nous sommes cm h, agenouillés à côrf du lit, 3 sa di&,
ducun, chacune nom place, esaacmuit où il faur
LCJ pour raider, Smtowr, la porter.
Les deux Milles plus petites, qui ressemblent leur mtre,
les deux Sirnard, les petites aux yeux bnuis,
pr& de son vi-, de son mrsq
une de chaque dit&
25 Les deux Pelletier aux yeux bleus, qui ressemblent leur père,
mon Erére et moi, ks deux plus grands, plus costauds,
I à la hauteur du bassin,
un de chaque côd.
Mon &re est penchd sur la main de ma mère, la t&e blottie sur sa main, il sangiote cornait
û un enfant. C'est la première fois que je le vois pleurer. U a 32 am.
Ls mis Cilles, des, wgardonr leur rntre.
Elle fixe un point ià-haut, très loin,
toute tendue vers me... chose... Ih-haut
qui la rire.
-5 Je h pois prendre sa dkision.

Intimité et pragmatisme a