Page 134 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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Le tbéd~e de lkbsurde réalité
.4u &&m; après Ionesco et Beckett en Europe, années 1950, déconceriants. C'est l'occasion, pour
Jacques Languirand peint à son ruur des êrres envahis le public d'ici, de découvrir de nouveaux moyens
parknhnt, déconcertés a, pour cercains leaeurs des d'expression dramatique.
ACQUES LANGU
-
JOUER UNE WPHONIE l C
HECTOR : Et où irais-tu ?
SOPm : Je ne sais pas.
Si
HECTOR : Moi aussi, c'est th que je vo& du... tout le monde parrait, tour Ic
monde se retrouwrait là Mais comme personne ne part jamais, on ne saura jamais
5 oh c'est.,.
SOPHIE : Tu te moques de moi
-R : Non.
SOPHIE : Para que ni n'as paf ni k courage de partir, tu t'imagines que
pasonne ne l'a- jamais.
IO -R: Un jour, j'ai compris que je n'aurais jamais le courage de phr.
SOPHiE : fi tu n'as pas vodu en finir ?
: J'ai commencé espQcr sewkrmenr que lm aurres Ie moue, au,
Ie courage dc partir ! Ce qui aunit eu le même résulm pour moi..
is HEcTy1~:Psrs!
SOPHIE, ~~,~clZc~àI'sppeld'~
HEWR: Pars, Sophie, pan !
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~~~ALZE .cn m& Su@c ! Sophie ! Sophie ! Sophie !
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Un mp, pirpbfirt 5aphie ! Sophie f Sophie !
za SQPHE, Ei,Pfcjst&+dBPry>pddEk&
HECK)R
Quand je pense que hai.n marin le soleil va se lever ! Quelte dhiSion ! I1 est
SOPHIE : Aide-moi fi @L