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                           Mgr P.-F. Turgeon.  Acte de prêtrise de M. Modeste Demers  (dam la
                        cathédrale  de Quebec, le 7  février 1836). (Regixire M, f. 9 v.)
                           Requête des habitants de cette  partie  de la  seigneurie  des  Grondines,
                       connue sous le nom de Rapide, demandant  que leur (territoire soit érigé  en
                       paroi'sse canonique.  Liste des noms des signataires.  Certifi'cat de Pierre
                        Grandbois et de Antoine Douville. témoins  (Sainte--he-de-la-Pérade,  28
                        novenihre  1835).  ~Commissiw>n donnée par Mg'  Joqh Signay à M. Fran-
                       sois-Xavier  Côté, curé de Sainte-Geneviève-de-Batisan, en conséquence de
                       la requête ci-dessus  (Québec, 18 décenilire 1835). Procès-verbal  de LI.  Cote
                       en conséquence de la cominission ci-dessus  (en la maison  du sieur François
                        Saint-Germain, au lieu nommé Rapide. 7 janvier  1836). M"  Joseph  Signa?
                       Décret érigeant canoniquement la paroisse de Saint-Casimir  (Québec, 18 fe-
                       vier 1836). (Regislrc dcs requêtes, v. H, f. 217 v.)
                           Mgr Joseph Signay à  M"'  l'évéque de Telniesse, à  Montréal  (Q&Lxc,
                       8 février 1836). h.1"  de Sidyme lui  rend  un  grand  service en  traitant avec
                       Mgr Lartigue les sujets de liaute importaiice  qui iont depuis quelque temps
                       la matière de ses lettres.  II  croit  qu'il  vaut  niieux  ne pas  présenter  à  la
                       Chamlire d'As~emblée la  requkte ooù  les évéqies réclament  les biens des Jé-
                       suites.  Elle lie servirait qu'à rmhrouiller  les choses et à faire échouer les au-
                       tres mesures d'un ,plus grand intérêt pour le diocèse. Il le reniercie du rapport
                       des Hospitalières de 'hlontréal conoemant leurs réclamations  auprès de  M.
                       Thavei~et. Il lie peut s'expliquer par quel calculce bon mnsieur se trouve i
                       exempter le;  religieuses de panliciper aux défalcations dont il attriliue une si
                       grande partie aux Soeurs Grises et i l'évêché.  Il attendra la décision  de la
                       cour avant d'agir dans l'affaire  de Châteauguay; il  ne ieut pas  "se  niettrc
                       dans les défilés des avocats de treiiipe flexible aux tourniens de leurs chiens ...
                       Lord Gosiord m'a  demandé une entrevue et  précisément  sur la  séparation
                       des districts.  Je l'ai trouvé tout-à-fait  diiposé à re,coinmander aujourd'hui
                       la mesure, ce qu'il  ne voulait faire, m'a-t-il  dit, sans avoir pris une parfaite
                       connaissance de toutes les correspondances  qui ont lieu snr cette affai~re. Te
                       n'ai  pas oublié le petit paragraphe de votre lettre sur ce sujet.  I,l se flaite
                       beaucoup  du  smcès,  espérant  une  réponse  en  mai.  Qui  empêcherait  de
                       charger  M"  Provencher  de négocier  en aotre nom:  car lord Gosford  lui-
                       même trouverait  cela avantageux, d'autant plus que Son Excellence a  spé-
                       cialunent recominandé ce prélat à lord Glenelg.  Tout ceci convaincra qu'en
                       allant avec nne certaine niodération, et non  auss{bru'squemetnt qu'on  voulait
                       me  faire niarcher, les choses  ae  feront  à ;souhait, mais que l'on  me  donne
                       un peu  de temps.  Au reste,  envoyez-moi vos  remarque.;  sur la marche  à
                       continuer.  Car le bon  lord  est  tout-à-fait  aiinable, et je  crois sincèrement
                       qu'il y va de f nnc jeu. J'ai  eu, samedi. iirie longue entrevue toute entière su?
                       le sujet, et je  lui ai donné diverses connaissances qui ont  paru,]? satisfaire.
                       Il parait  même tenir à honneur de voir s'opérer  l'érection  de,siree sous son
                       administration.  II faut en profiter  d'autant  plus  qu'il  est en rapports très
                       ihes avec  lord  Glenelg."  M.  Joachim  Boucher  se  plaint  "mais  il  e~t
                       Li ou il a demande lui-même  d'aller, aprb avoir vieité  la paroisse,  laquelle
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