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qu'il .wit exclu de cette maison, ou qu'il n'y  soit toujours qu'en sous-ordre:
                        3 ne  dépend  pas  de  moi  de  faire entendre  aux ecclésiastiques  canadiens,
                        qu'ils  n'ont  aucun droit à devenir administrateurs des propriétés  qui  n'ont
                        réellement  été  données  à  cette  maison que pour  I'avanfage  du  Canada.
                        Mr Quiblier  6e  plaint  que le  Ministre colonial  ne  connait  pas  les  Sulpi-
                        ciem.  Je  conviens qu'il  a raimn. .s'il croit qu'il existe chez le ministre quel-
                        que doute sur leur loyauté dont je  suis parfaitement convaincu.  Que de ce
                        qu'ils  ne  sont  nullement  à  craindre,  sous ce  rapport,  M'  Q. en tire cette
                        conséquence,  qu'on  leur  doive  laisser  leurs  biens,  là  je  suis  avec  lui; car
                        j'e  ne  désire rien plus ardemment que de voir  assurer l'existence  d'un  éta-
                        blissement si utile au pays.  Je  désirerais comme lui qu'une  Proclamation
                        Royale,  si  la  chose était  possible,  les  mit  en voie  de transiger  aver  leurs
                        censitaires pour  leurs droits seigneuriaux, pourvû  que telle  Proclamation
                        les autorisât  en niénie  temps  à placer  à profit  le  montant  des  indemnités
                        qu'ils  percevraient.  (Cette mesure  me paraitrait bien  préfkrable  à celle qui
                        fut entammée en février 1834.  Je vous avoue que je  ne les ai vus qu'avec
                        peine soumis à une espéce d'examen  mi, dans mon humble opinion,   leur
                        a  fait plus de questions qu'i'l n'en  fallait pour atteindre le but propose.  Je
                        sais  que  vous  leur  euùsiez  épargné cet  interrogatoire inutile,  si  vous  eus-
                        eez conduit vous même la mesure,  et  je  vis alors, avec satisfaction, qu'ils
                        le  reconnaissaient  eux-mêmes.  Si  jamais  vous  vous  trouvez  dans  la  voie
                        de rendre à cette pkieuse institution  l'insigne  service de  contribuer  à en
                        affermir i'exi~stance, je  serai bien  aise  de  vous  avoir  fait part  des  disposi-
                        tion du Clergé du pays à son égard." ,(Cartable : ôvéques de  Québec, VII-
                        28.)
                           Ms'  Joseph  Signay à M.  (Luc)  .4ubry,  curé à L'De-Verte  (Quebec,
                        15 octobre 1835).  Al. .&ubry tiendra à .la perception  exacte de la dime des
                       patates dont ses suocesseurs auront peut-are plus besoi'n que lui.  181 exhor-
                        tera ses paroissiens à bien s'acquitter  de cette obligation et leur fera part de
                        la présente.  (Registre des lettres, v. 17, p.  150.)
                            Requête  des habitants des  seigneuries  d'Aubert-Gallion, du  fief  Cum-
                        berland. de celui de Sainte-Barbe  et de Saint-Charles-de-la-Belle-Alliance,
                        demandant que leur territoire soit érigé canoniquem,ent. Liste des noms des
                       signataires.  Certificat de F. et J. Perrault  (Saint-Françoisde-Beauce,  14
                       septembre  1831).  Commission  donnée  par  Mg'  Joseph  Signay  à  M.  Jo-
                       seph Lacasse, curé de Saint-Henri-de-Lauzon' en conséquence de da  requéte
                       ci-dessus  (Québec,  8 juin  1833).  Procès-verbal  de  M.  Lacasse  en consé-
                       quence de la  commission  ci-dessus  (Chapelle de  Saint-Georges.  3  février
                        1835).  31"  Joseph  Sig-nay.  Décret  d'érection  cananique  de  Saint-Geor-
                       ges-d'-4ubert-Cmllion  (Québec,  16 octohre 1835).  (Registre des requêtes,
                       v.  H. f. 159 r.)
                           M"  Joseph  Signay à M. (Joachim)  Boucher, vicaire aux Trois-Rivières
                        (Québec,  16  octobre  1835).  Puisque  M.  Boucher  préfère  la  nouvelle
                       paroisse  de  Saint-David  à  celle  des  Éboulements.  il  lui  en  confie  le
                       soin  aussi  bien  que  celui  de  la  nouvelle  paroisse  de  Saint.Guillaume-
                       d'Upton.  II  ne  réglera  ce  qui  concerne  la  desserte  de  Saint-GuiIlaune
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