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ARCHIVES DE QUEBEC                       161

                              Ma'  B.-C.  Panet à Mgr de Telmesse, à Montréal (Québee, 4 février 1831).
                          Comme M.  (Alexis) Mailloux  ne peut aller  à la Rivière-Rouge,  M.  (Jacques)
                          Belcourt le remplaeera.  Il a averti ee dernier de faire ses préparatifs pour un
                          prochain  dkpat.  II  ne pourra  envoyer  un  successeiir  à  M.  Beleourt  avant
                          l'ouverture  de la navigation.  MM.  Rivard,  curé de Champlain,  et Boisson.
                          nault, curC de Saint-Jean-Port-Joli, sont malades ; il envoie M. Dk~iel. vicaire à
                          la Rivière-du-Loup, ehee le premier, et M. Couture, vieaire à la Rivière-Ouelle,
                          chez  le  semnd.  Il lui semble que la majoritk  des  membres  de la  Chambre
                          d'assemblée  incline à admettre "les  notables,  ou  plutôt les propriétaires,  aux
                          kl~etions des  marguilliers."  Il va  répondre à M.  Quiblicr  qu'il  admettra  M.
                          (Felix James) Larkin dans son diocèse, mais pas pour être employé au séminaire
                          de Montréal.  (Registre des  lettres,  v.  14,  p.  341.)
                              Mar B.-C.  Panet.  Permission d'ériger  le chemin de la croix dans l'église
                          de SaintMichel-de-Percé  (Québec, 5 féwier 1831).  (Regisire K, f.  161 r.)
                              Requête de plusieurs personnes de Charlesbourg demandant l'établissement
                          de la confrérie du Saint-Scapulaire dans  l'église  paroissiale  (Charlesbourg,  4
                          fkwier 1831).  Mc'  B.-C.  Panet.  Acte de l'érection  de la confrérie du Saint-
                          Scapulaire dans l'église de Charlesbourg (Qukbec, 7 février 1831).  (Repistrs K,
                          f.  161 v.)
                              Mg'  B.-C.  Panet à M.  (Ferdinand)  Gauvreau, missionnaire à Memram-
                          cook  (Québec,  8  féwier  1831).  La  construction  d'un  nouveau presbytbre
                          à Memrameook est urgente.  Mar Panet espère que les gens de la mission de
                          M. Gauvreau le feront volontiers.  II vaut mieux que les gens de Petitcoudiac
                          ne construisent pas une chapelle trop grande et qu'ils contribuent à la construc-
                          tion du presbytère de Memramcook.  II donnera i'oûice une fois par mois aux
                          fidèles de Petitcoudiae.  Puisque Mm Fraser donne juridiction à M. Gauvreau
                          dans  toute la Nouvelle-Ecosse,  en le renvoyant  tout  dc même  à  ME'  Panet
                          pour recevoir  les pouvoirs  nécessaires, celui-ci, en  qualité de grand vicaire  de
                          ME'  Fraser, accorde à  M.  Gauvreau les mêmes pouvoirs  qu'il  a rqus pour  la
                          mission de Memramcook.  (Regi9tre de* lenrw, v.  14, p.  342.)
                              ME' B.-C.  Panet à M5  de Telmesse, à  Montréal (Québec, 11 féwier 1831).
                          Il est surpris d'apprendre que M. (Pierre) Grenier prkfère rester à Châteauguay.
                          Après  avoir  consulté  M.  l'orateur  de la  Chambre  d'assemblée  et M.  Denia-
                          (Benjamin) Viger, il  croit  qu'il  vaut  mieux  ne pas  s'adresser  aux  citoyens
                          de Montiéal au sujet de la pétition pour l'érection  du district dc Montréal en
                          évéché, mais  plutdt faire comme la première  fois, c'est-à-dire  présenter  à  Sa
                          Majesté une requete signée par lui-même et par le coadjuteur.  MEr Lartigue
                          rédigera  un mémoire pour appuyer la requete.  Des difficultés insurmontables
                          se sont élevées au sujet du départ de M.  (Alexis) Mailloux.  De fait il n'était
                          pas faeile de le remplaeer dans une grande paroisse comme Saint-Rach  : c'est
                          facheux qu'il  en soit  ainsi, car  ME'  Proveneher  rencontre bien  des  di5cultés
                          pour se trouver un compagnon.  Me'  le coadjuteur a vu quelques membres de
                          l'Assemblée au sujet de l'admission  des notables dans les réunions de fabrique.
                          Il est tiés  probable que cette affaire ne  sera pas  décidée pendant  la présente
                          session.  (Regtitre des lettres,  v.  14, p.  343.)
                              Ma'  B.-C.  Panet  à  M.  (Pierre)  Béland,  curé à L'Ile-Verte  (Québec,  15
                          février  1831).  Il le charge d'aller  à Saint-Simon pour  présider  l'enquête  au
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