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22. APC, RG 8, 1, série "C", vol. 599, p. 37-39.
23. Saint-Roch, étant une basse terrasse de la Saint-Charles
était un terrain trPs propice aux inondations.
24. APC, RG 8, 1, série "CM, vol. 602, p. 109.
25. Tandis que l'accroissement des populations des villes
américaines telles que New York et Philadelphie se chiffre
entre 5 et 6% par annee, celui de Québec n'est guère plus
élevé que de 0.6% par année. Voir Car1 Bridenbaugh, Cities
in revolt: Urban life in America, 1743-1776, New York,
A.A. Knopf, 1955, p. 216-217.
26. Les statistiques pour la ville de ~uébec proviennent de:
Le curé Joseph Octave Plessis, "Les dénombrements de Québec
faits en 1792, 1795, 1798 et 1805" dans le Rapport de
l'archiviste de la province de Québec, 1948-49, p. 105 et
212; La Gazette de Québec, 11 février 1819 et des recense-
ments du Canada. Les statistiques pour la population de
Montréal et du Bas-Canada se trouvent dans les recensements
du Canada et dans Jean-Paul Bernard, Paul-André Linteau et
Jean-Claude Robert, "Les tablettes statistiques de Jacques
Viger (1825)", Rapport du groupe de recherche sur la socigté
montrgalaise au 19e siGcle (1972-1973), Montréal, Dept.
d'Histoire, UQAM, p. 1-3.
27. Les villes anglaises (London, Edinburgh, Liverpool, Glasgow,
Manchester, Birmingham et Bristol) augmentent de 2.3 à 5.6%
par année, tandis que les villes portuaires des Etats Unis
(Baltimore, Philadelphie, Bos ton et New York) accroissent
de 6.2 à 8.5% par année. voir D.T. Gilchrist, ed., The
growth of the seaport cities, 1790-1825, Charlottesville,
University Press of Virginia, 1967, p. 44.