Page 8 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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8          I.F:PTI:II  DL'  COMTE DE NICOLAY

                                         ?l'est dcrit q4~e ~wL?' ,moi me"/ ".  Et  cm  dciivant d son
                                         ami LPÿ%s, po~i. pi. il n'uucit ?.;en rle  cach0, il lui dit
                                         dans un yrancI  .moinbre de  ses lethes, soit  en tbte, soit
                                         rl  lu fin :  <'  Pour  vous  setcl ".   " A  VOUS  seul ",  on
                                         " BnLlcz  ma lettre ".
                                           En prdaeizce  d'injonctions  aussi fornielles,  il ,m'(z
                                         paru  dibord  i?r~possiblc clc  songw  d  la pzbbl:ic(l.tioil
                                         de ces n~unztsc?.its ; ?nais aprks  y  uvoir  r<jir'chl plus
                                         mdremcnt, alvin. en wvUr coî~fhd longu~nient, ~~irt.,>ut
                                         avec  vous, j'en  87!,i18  eenu à lu  co?icluslo?i qu'un  laps
                                         de plus d'un. si0cle constit~~ait une sorte  rle  p,,eser.lp-
                                         tion, et  qu'en  outl.6  ce  serrcit  unr  peite  regreltablc
                                         pvuccr  l'histoire  si  intkressante  de  vofre pays, si  tmt
                                         d.e piAces  prdeieuses  rlemeuraient irrd<tiirinrerrt cnaece-
                                             ilalas ?rwa  archiveg.
                                           .J'<&i rl.6 cepm!laizt j;Li're  exception  pour  quelque8
                                         picssages  velri.t;;fi ri  ries  (+&ires  de  .frx,n?,illes, ou, telle-
                                         ment i~ifiïriea p&e ju  ?ne aeiais fait  nn scrupule cle  les
                                         espoa.ei   cles  regavds  profanes.  Ces  pas8ages,  qui
                                         ~I'ailleurs ne  sont  pus  nombveuz,  ont étd  i.et~anchd8.
                                            Je  rie  <.i.ois prca  ezi~,géi,ev en disant que la publicu-
                                                                       et
                                         tieil. dl1  JOL~RSAL JIONTCALII de ses LETTRES AU
                                                          DE
                                         iJmvAl.trn  DE  L&;PIS jcttei~~ «.n  jou~ jusqu'd  jwésent
                                         iucmiuii SU?, les dernieres aiindes du r+ncfrançais
                                         au Canada.
                                              dgvdes, je  ,vous prie, Moli8ieur  I'abbd,
                                                                 de
                                                       I'es~~~~essioir. mes sentiments

                                                 Siynd :  Comte R~~iiizond DE A~ICOLA Y,
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