Page 46 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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A Xoiitrfal, le 5 juillet 17.77.
C'est toi?jours lin vr,ii pleiair poiir riioi, moii cliei.
chevaliei., de rccevuir de vos iioiivelles. ;Ic iroiis fais
nie;; remerciemeiits de iii'eii ;~coir doiiiib <lès votre
arriv6e ?I Saint-Jeaii. Je voii9 yoiiliaile une boiitie
euiitinustion de roiite, et j'eüpère toujoliw voiid joiriiire
le 17. Vous :~llez avoir besiicoiip iie s.i:iva.ge; avec
Mariri. Ils soiir liSs pour, iliiaiid iiiT-iue il feroit iiii coiip,
ntteiidre la fin de ma csrnpagiic. Mettez-les il profit.
Un siiccès iin lieu considCrable de leur part, dloigiieroit
les di!couvreiiis nnglois, leur doiiiieroit~ de l'aiiil:icc,
imprimeroit de lil terreur ails eiiiieinis.
Mes cotiiplime~its ii MhI. iie Doiii.li11ii~ilue, Forithriiiie
et La Roclie.
A Carillon, le 2i) jiiillpt 1757.
L'estime particolièie qiie j'iii, Moiisieur, poiir lin sussi
ancien oficicr que Al. U'Alrluier, m'avoit fait accéder
avec plnisir au projet de la tirer avec horineur d'uiie
besogiie que ses forces iie lui permetlent pas de reuiplir,
en liii confiaiit unc I~r.iogiie tiouorable. J':ivois lii! oette
destirietion arec iiu pi'ojet que je lui ai c~mliiuiiir~uL(,
pour soi1 hien eL son avaiiceinent. Un zéle loiial~lo,