Page 76 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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ootte ierpon~$W~ 1areg~'il aa.git  de l%rc
                                        ph gn.b i ~ b
                                bitkim de 1'ouPeer  et de sa iadte et celle de nom tws qui ne fai-
                                sons pas ptrtis da eette k particuliB~e, maie qui tmv&ons  autant
                                et qui rendons autant de ~emiceg ii 1'Etatf  M&  ce n'eat  pes k ~euh
                                anomalie.  Le mhbtèm de 17-tion      Publique  exige que l'enfant
                                sait bien hg6 B J'&~le, mais que fait-il pour son entourage, le rate
                                du janr 1  L'~ta~ cmm et flit  dana son eff a&  pur
                                                           le
                                                      apm
                                imtmke les ePfanth du taudis;  maia le bien qn'il hm fait en quatre
                                hemw d'&le  est  empoisonn4 par l'infection  du foyer:   Laga ean-
                                vanablement l'ewhnt,  donnez-Im sol&,  air et maison propre, et efom
                                conshm que aes fm&% phpiqua et intellectuellm auront acquis
                                un  el^ beauaonp plas notabla,
                                    Toiai dm ammpIes de l'mtion  de  YEtat;  $;)ans  le premier il
                                met m vigneur pres lois par  ses proprs fcvnctionnaim; dans le der-
                                nier, il retient aa subvention si les &glsmentg ns sont pas mi*.   3h
                                pourquoi 1'Etat  s'occnpe-t-il tout d'abord de la sant6 des dw daxa
                                -susdites?  Naus avons vn de quelle manière rigissent les autori*  le
                                des lorsque les lois de l'hygihe leur sont labées entre 1m ni.mn
                                     Au  point  de vue  de-la santé, on semblerait croire que la chm
                                mtte et avant 1s chmal, pendant h journQ  de huit heures de nrtvarl,
                                car la plupart  des  ou.rrjers,  tmvaillant  dans les ateliers  modernes,
                                wnt dans nn mdleiv ensemble de  conditions hygiQniques qua pen-
                                dant la reste des -#tre     hm. s<ma le rapport du physique,
                                l'ouvriez est mieux à I'atolie~ que chez lui  firr qawtion du logement
                                                                                            ~
                                sain, ii  loyer  md6,   mdrite  Yattention  immédiate  de 1  %  Lee
                                pmpinces peuvent, si elles le vdent, ameliorer antant les conditioml
                                hygiéniques du foyet qn'ellas ont a-mélioré des de la  ~ian&m;
                                elles arriveront même ii  des dsdtata plus p~ofitable9, non mulement
                                aux hommes,  maig ii  leurs malheureusa fammm et à leurs famillee
                                     -            Il  semble zidicule  qn'm  état  refuse  d'mm@er
                                qsi mt .-par       lea airemdana, de passer les iom a b d    a



                                             une respanabilite quelaonque,  ibmncièrr:  on  antre,
                                             poür  diminuer,   in on enrayer le mime et le -litdi%
                                 -U.
                                              en  amAliorant  les conditiaas  relatives  au  logemat.
                                Cq~dmt, CB même Qtat adopte les ptam et devk des logements du
                                mode le plns rikat et le dpx nmmu pour sa avsntagm saaitai-
                                rw, afin de loger nn bmare, aprhri"il de& fait miminel.  Ii Zs perd
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