Page 75 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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l-wAl'-
EYO~ appel4 votre attention sur que1gue
raabdIm6
a-m UBS e~nditio~~~ iasal~tb~e~ l'habitation tell-
de
des
qu'dm &nt mariatanant an Canada, je pourrais, ,
4 bon dro'rt, vons dmdr oe que font lea bux de €kt6 puisque
oes manx BQstent F On peut fipondre qtie mëme avec-les lois et les
elements en btence les méd& de l'hyg&m piibliqn6 locale a&
a rahh pn réduire les conditions insalubm qiu Sgnent. Capdant,
, on ne *jeter tout le blhms sur ces ofiiciers, car, en général, ils
eont abus le eanW1e des conseils municipaux, et trop sauvent an COD
tate que les rnernhei de cm corps sont plntôt des politiciens de qtuu-
tiers que de iat&w& à l'hygi6,e publiquet Le m@&n de la
1 munieipiilit8, qi dtxmpe pn pen de tout, est ~enn de gagner sa vie
parmi una population à &que& souvent il donne une p&e de mn
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temps sans r$tdn&on. Une telle arganisation a pour T$Eultat b n&
gi;gence de la sant8 pnhliqw. @>est ainsi que le mal prend racine;
grâce à cette inertie, il se développe st règne en maître, B la grande
joie du proprikhire, soit individn, aoit compagnia C'est pour aux
un plaisir pmfitable, mais c'est la mort lente pour les maiheureux
hataire%
L'edttewe bien apparente du même mai dans les ~ea, où le
rn8deoin de b population etst payé grassenient pour ses smim, est
me preuve de plns de 1'indi.ffQenm e-t de la parasse de ces- @BPB
de la vie des cib~tw. LB rntdecin public et le bureau local #hg@- v
&ne =nt très puissants dans presqae tontes les province du Canada; ,r,
cependant, oii est la preuve de leur activit&!
En && générale, nos lois concernant l'hygiène sont modelb
snr calle de l'Angleterre et de l'&ose, et &ea revztent d'm grand
pouvoir les officie= de -tg. Sauf me on deux pmvinG le Bmeau
pmvineisl de -té n'& qn'à titre dei wmil et nc~meat il
srrive pe ses avie ne sont même pas aivis.
Ce sont les gouvmements qui smt coupables, en génGral, - nr
n'svoir pas exerd rui cont&le direct sur l'administr~tion. Dam l'th-
tario, par exemple, le gommement asme la reapmbilite de ma-
3 trr, e. vigueur In loi touchant Lw msnnfseturei, et il mbetïmt un
pSso~el dyw~rs anpente chque aanée en nambre.
qui
L2homme et 'la femme qui travaillent sont mieux le durant leurs
liuit lieures de travail ii ls mzumhture qne durant les autres
heures; ou, $il s'agit d'mi père de fde, que sa femme et .t *- - 1
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