Page 104 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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96             COMMIWIQPI DEI  LA CO~PATIO~~

                                     En considBrant h question de gmh,les terres fomtiihs wmae
                                tell% au lieu de les aniployq ponr  des ha agricoles, il senit inte
                                 msmnt d16tabk une comparrthn ,pour mmnîtm laquelle  des deux,
                                 de k forêt ou de l'clgRculte,  atke le plus de daur au  pap.  Par
                                exemple, dans nohe provinee de, la CBlmbEd3ritanniqus, la  tem
                                il bois produisent de 10,000 B 40,000  pieds da bois par ame, mettons
                                25,000  pi&;   cse  moabnt %mira,au~r curnpagriies de  tsansp~rt un
                                chargemait de 37  1-2 bmm.  Si 1s m6me terre était en cdture, il
                                faadmit aincpante des pour égaIei,ce produit.  Ponr  rendre ce
                                his, les dépmw s'élGvent  à $5  par  mille pieds, soit $125 par acre;
                                le  gm~mment &t         un àrait,de 50 cenb par  mille  pi&,  mit
                                $12.50 par  aore.  Que  d'anr~6es de culture ne faab-t-il pas  pur
                                arriver aar mkes riktltats?  Panquai le Gome-ont      ,devrait-il
                                tant se presser de dét*   me tslb sawree de reu~n? On peu* ne
                                pas es aoufEriF,d'ici  à quelqnw mges, mais h loi  de 17npprovision-
                                nement  et do la dede est inexomble et ausi certain que la nuit
                                sucePde sa  jom,  ehaqua mille pieds de,bois, employé on d6trait-, di-
                                &rie   d'antamt  l'approvifnonnement  si  facile  à  obtenirtenY Une  telle
                                lice de mncin*  doit m6vitrt.blement artpater leiprix du bois on-
                                vré.  Qw 1'0s ne viemie pas; dir~ qu'il  faiit  se  hâter da dkuder les
                                Wref  bahha ,de la manier8  la  plu d&xstrense,  prodigus 626  imp&
                                voyante, afin de fuurnir de la terre 'BU expl~i$ationa agrimIa  Le
                                Canada foisonne de tcm propres à l'rtgiadture;  on  trom partant
                                d'immenses ,&tendu= qui  n'attendent  quo la charrue.  Qardow ntJs
                                tmms bob6-e~ P;om la ptodmtim du boia;  adebwla de 2a  fa-
                                pn h plus attentive et la plus économiqne pssibla, en Ggard,airs, tir
                                                               ~
                                c~mtances. ~          z  vom  dire encm que  si  le  gomernement
                                                                         i
                                comme  pmpriétahe n'entrave ,pas l'actim  du pmmuq celui-ci,  en
                                vue  de  ses pmpres  iatMtsf mm8  mieux  ~O~LS~TPBP cettg msource
                                que l~  Sglea~ent.a et les mticth.  En &néral,  la terres  bois
                                                                      mit.
                                ne ccmvienflent pas aux cultures ~~mles, par nature, sait à cause
                                des dgpemes qu'entaule  l9enlèven1m~ du  bois.  En supposant même
                                que lem ml sekt propre à I'agriculZnre,  on devrait le réserver pour
                                la produetion d~ ha&.  En a-t    ainsi, on ne détmit~ps ha mes
                                du pap: leur atihtiap comme terre          n*est que retard&; le
                                sol, ttn&,foh &barras&  de sa mohn de ha&, S&R  enmra, plna tard,
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