Page 66 - La Généalogie retrouver ses ancêtres

- boute, j'y ai réfléchi. J'en ai parlé à monsieur le
curé. Si vous ne pouvez pas venir le dimanche pour une
bonne raison, mais une bonne, je vais vous payer pareil.
J'admets volontiers quej'étais dans mon tort.

-Et il y a les services, les marhgcs et les baptânes, on
n'est pas payé.
-Je sais, mais que veux-tu?

-Je vous l'ai dit hier.
-Je sais, je sais. J'ai pensé qu'on pourrait peut-être
songer à chercher une sorte de compensation.

-Une quoi?
-Une façon de vous dédommager.

-Je ne sais pas trop. Je ne sais comment. C'est pas
fréquent tout ça, c'est pas régulier non plus.
-C'est pour ça qu'on vous a demandé de nous payer
plus pour les messes ordinaires, c'est régulier.
- Oui, je sais, mais tu peux t'exiiever de l'idée tout de
suite qu'on va payer la messe du dimanche. Il n'en est
aholumeat pas question. Tu comprends? Pas la messe du
dimanche, c'est .lloKice dominical,. Ça ne serait pas chré-
tien de se faire payer pour la messe du dimanche.
-D'autant plus que c'est un commandement de Dieu.
-Justement! C'est un commandement de Dieu.
-Oublions la messe du dimanche. Je veux dire, si on
parlaitjuste des messes de semaine, c'est quand même pas
beaucoup, quinze cent^, Géricol
-Pas de gros mots!
- Bkusez. Mais quirue cents pour la messes et rien
pour les services, les mariages et les baptêmes, c'est pa
beaucoup quand We.