Page 72 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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Je suis un fils deu de race surhumaine
                              Race de vioknu, de forts, de hasardeux,
                              Et j'ai le mai du pays neuf, que je tiens d'eux,
                              Quand viennmr tes jours gris que septembre &ne.
                              Tout le passt bmd de ces coureurs des bois :
                              Chasseurs, trappm, scieurs de long, flo~eurs de cage,
                              Mhds amers ouua&à                 gages,
                              M'ordanne  d'&di p en haut pour cinq mois.
                              Et je r&e d'aller comme &ent  les an&   ;
                           iP J'mcends pleurer en moi lm grands espaces blancs,
                              Qu'&  parcouaitnr, nimb de sdcs d'ouaps,
                              Et j'abhorre comme wu la mntrainre da rnaîrres.
                              Qwd s'abattait sur eux i'ùrage  des Bhx,
                                                 ils
                              Ils maudrssaicnt le A, rndisaient la plaine,
                           I 5  Us maudissaieat Iw loups qui les privaient de laine :
                              Lem mal4diaiooo engourdissaient leurs maux.
                              Mais quand le souvenir de i'épousc lointaine
                              Secouait brusquement les sites dorant eux,
                              Du revus de leur manche, ils s'essuyaient  les yeux
                                                     =
                           20 Et leur buche entonnait : A la claire fontaine m...
                              Ils l'ont si bien redrte aux écbos des forEts,
                              Cette &ansan  ndw où le rossignol &nœ,
                              Sur la plus ham  bEanchc, une chanson touchante,
                              Qu'de s mêle 4 mes puisers les plus seaets :
                           % Si je aurbt le das sous d'iavisiMts  cbqp,
                              Dans I'kre  b&    de dEparts oppressants,
                              Et si, demmr i'obstade ou le hm, je sens
                              G frisson M a r  qui crispait teurs poings larges ;
                              Si d'eux,  qui n'ont jamais WMU  le dkstsph,
                           30  Qui sont morts ui h  t  d';i~semir la nanue,
                             Je tiens ce ddifinsrina de Pawnnirt,
                              Dont je suis qdqurfois tout envoii~d, le mir ;
                              Par nos ins sans viguau, je suis comme k h&re
                              Dont la FiéYZ a tari sans qu"&  soir dépadé,
                           35 Et c'est  de désirs morts que je suis enfk&,
                              Qwd jc rêve d'der comme allait man ancetrt ;




                                                                                        terroir et ami-terroir 0
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