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Msr Joseph Signay.  Supplique de Mgr I'évéque de Québec et de son w-
                        adjuteur à Sa Sainteté Grégoire X\'I,demandant  que le district de Montréai
                        soit érigé en évéthé (Québec, 24 décembre 1835). (Registre  L, f.  185 v.)
                            ME' Ange  Mai au révérendissime Joseph  Signay. archevëque de Qué-
                        bec (Rome, 25 décembre 1835) (en latin).  Il a reçu la lettre où MW Signay
                        lui apprend le retour à Québec de M. Thomas Maguire dont il garde un ex-
                        œllent souvenir.  C'est  au mérite de ce monsieur  qu'il  convient d'attribuer
                        la bonne tournure des affaires qii'ils ont eues à traiter  ensemble.  D'ailleurs,
                        il sera toujburs heureux de continuer ses .services soit à I'Eglise de Québec,
                        soit à son archevêque.  La multihide des affaires soumises à la congrégation
                        du Saint-Office a été la cause du  retard  à répondre  à ses questions  concer-
                        nant les mariages mixtes.  C'est avec regret. qu'il a appris le décès prématuré
                        du révérend Antoine Tabeau proposé au gouvernement de l'Église de Alont.-
                        réal.  (Correspondance +aanuscrite de Rome, IV-127.)
                            Mgr Joseph  Signay  M.  (Joachim) Boucher. curé à Saint-Davidd'Ya-
                        maska  (Québec, 26  dkembre 1835).  Il  est peiné  d'apprendre dans quelle
                        situakion désavantageuse se trouve  M. Boucher  dans sa  nouvelle paroisse.
                        Il a dit aux deux déléguéj qui sont venus le voir à Québec, accompagnés de
                        ,M. Wurtele, et il  lui  a  &+té  dams  sa  lettre du 21 novembre  dernier, que
                        c'est aux marguilliers à faire la vente des bancs  et non  aux syndi,cs.  hfi'n
                        de régler les difficultés présentes  et celles qui se préparent,  il enverra pro-
                        chainement deux comi~iissaires pour  étudier la  situation et voir  si les habi-
                        tants de cette nouvelle paroisse sont réellement en pasition de loger un curé
                        et de lui assurer sa subsistance. (Regi~tre des lettres,  v.  17, p. 256.)
                            AI'  Joseph  Signay  à  M.  (Jacques)  Paquin,  curé  à  Saint-Eustache
                        (Québec, 26 décembre  1835).  Il le  charge de  se  rendre  à  Sainte-Rase,  ile
                        Jésus,  et de mnseater dans une assemblée publique des paroissiens si  réelmle-
                        ment  les marguilliers con,cwrent dans  la  demande que ceux-là  font  d'em-
                        ployer  une partie des revenus  annuels  de  la  fzbrique pour  solder  les frais
                        d'agrandissement de leur église.  (Registre des lettres, v.  17, p. 256.)
                            M"  Joseph  Signa?  à M.  (François-&fagloire) Turcot,  curé à Sainte-
                        Rose, ile Jésus  (Québec, 27 décembre 1835).  Il envoie M. Jacques Paquin
                        p  r  s'enquérir  des  conditions suivant  lejquelles  les  habitants  de  Sainte-
                        Rose désirent prélever une certaine somme d'argent  sur lei revenus annuels
                        de la fabrique pour agrandir leur égli'se.  Comme ils désirent aussi faire une
                        répartition entre eux, il chqe er.core M. F'aqiiin de s'as,ui.rr  si cette réparti-
                        tion  sera faite  suivant la  fornie l&sale. 31. Turcot r!s doit pas  s'engager  à
                       percevoir certains montants sur simple présentatioii sans les formes prescri-
                        tes par la loi.  (Registre des lettres, v. 17, p. 257.)
                          Mg' Joseph Signay à MM. (Jean-Baptiste) Kelly, curéde Sorel, et (Jean-
                        François-R&,qis) Cngnon, curé de  B~rtliier (Québec. 27  dicembre  1835).
                        Il  les  prie  de  se  rendre  tou~s les  deux  dans  la  paroisse  de  Saint-David-
                        dryamaska, afin de constater si c'est bien vrai que dans cette paroisse "tout
                        marche d'après la  volonté du seigneur Wiirtele et du notaire de l'endroit."
                        Ils convoqueront  une  assemblée des  marguilliers  et  des  syndics  de  Saint-
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