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der un kvkue en titre. . . L'&+que de (2ui.bec. auquel se joindrait son oo-
adjuteur, présenterait lui-même la supplique et d'appuierait comm-e de rai-
son; mais, je voudrais qu'il fût assez vaillant pour déclarer formellement.
en cas de refus, que cette mesure étant devenue d'une nécessité urgente à
iraison de l'augmentation de .la population catholique du Bai-îanada, il est
décidi. là s'arranger avec la cour de Rome ,pour I'effeckuer." Voilà de plan
qu'il estime le plus propre à cmduire à un heureux résultat. Il ne croit pas
que le moment soit ~,ropice pour noinnier M. \'incent Quibier, vicaire
général du diocèse. Il faut attendre que ,l'on ait trouvé un successeur à I'é-
vêque suffragant de Montréal; sans cela, or1 s'crpose à faire torit manquer;
car, il sait que !es messieurs de Saint-Sulpice ne désirent à Montréal ni un
évêque suffragant, ni un évêque titulaire; le supérieur de ces messieurs lui
a ~riême proposé d'aller demeurer à Montréal comme coadjuteur et
a offert de lui construire une maison auprès du xminaire. En nom-
mant ce supérieur vi~~irc phéral, 011 le mettrait plus à nKme de réaliser
ce que l'on d'ésire. "Que 'l'cm fasse d'abord un suffragant, c'est-à-dire, que
l'on assure la succession à la sulfragance, qu'ensuite on travaille à la divi-
sion di1 dincèse; si on obtient towt cela, h,ls l'évêque de h4ontrSal sera
libre d,e se créer des grand4 vicaires saris consulter qui que ce
soit." (Cartable: Euéql~ss de Qwébcc' VII-22.)
MG Joceph Signa? Mc' R&mi Gaulin, coadjuteur de Kingston, à
Montréal (Cap-Santé, 8 luillet 1835). Comme Son Excellence le gouvcr-
neur a dCud6 qu'une encluéte serait tenue pour vérifier les plaintes pontées
par les sauvages du Seult-Saint-Louis contre M. Joseph Marcoux, leur
unisionmire. il le nunimr son comtnissaire pour prbider la dite enquête à la-
quelle assistera le colonel Napier, nommé à cet effet par le gouverneur.
(Registre des lettres, v. 17, p. 14.)
Mg' Joseph Signay à M. (Si.v&redHospice) Diimoulin, curé à Yama-
chiche (Québec, 21 juillet 1835). Il permet volontiers que le curé et les
marguilliers de la nouvelle paroisse de Saint-Barnabé acquièrent huit ar-
pents de terrain pour l'usage de I'égljse de ia dite paroisse, en conformité à
l'acte des 100 et 11' George IV, Chap. 53, pourvu que le dit terrairi n'oit
pas niuins de trois arpents en front sur une profondeur suffisante pour
former da superficie de huit arpents. (RegiShe des lettres, v. 17, p. 15.)
hlpr Joseph Signay à 3fm l'évêque de Telmesse, à iVIontréal (Quék,
22 juilla 1835). M. Btienne Chartier ne lui a pas écrit. comme il le de-
vait faire, après son départ de la Rivière-ilu-Loup. A propos de la noinina-
tion d'un grand vicaire. Si M. P.-J. Deguise n'a pas fait t,out ce qu'il
voulait faire en fa~eur du séminaire da Xicolet, il n'en dépend pas de I'é-
vêpue de Québec. M. Deguise a agi au meilleur de sa consciencc et ,sa m~é-
moire est trop en vénération pour qu'on puisse lui supposer des motifs
personnels. (Registre des lettres, v. 17, p. 16.)
Mn Joseph Signay à M. (Pierre) Roy, CUI& de 1'I'le-aux-Gmes (Qué-
bec, 24 juillet 1835). A propos de I'adjudi~cation d'un banc dans l'église {'i
un nommé Moïse Iachaine. '(Registre de.r lettres, v. 17, p. 2.1.)