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,,..iisi.,i il:]:   Eie  Yves  Caro::,  notaire
           l;!:s  ;\i~;~:\,;:l:s
           cl~!,;':~~:i;:.;.l:s   Secrstaire  ra-porteur
                                 Office  de  r~visio'n du  ~odi civil
      a..  :., C+#IL'!N Sillh7  ITi111S
                   IÏL~CL~CC     360,  rue  McGill
                   GlAiAJ
                                 Montreal










                                           Pour  faire  sujte à  notre  conversation  du  dsbut  de  la
                                 seciaine,  je  vous  fais  parveiiir  copie  de  certains  docunents
                                 relatifs  à  ià consultation  des  registres  de  l'état civil  pour
                                 fins  de  ~énealogie ou  ZE  recherches  dgmographiques.

                                           Comme  vous  ie  sàvez  sans  8cute  dij2,  beaucoup  de  cfxr-
                                 c!ieurs  utilisent  dëj;  les  registres  de  l'état civil  sans  qu'il
                                 en  soit rastil té c-  +roblè~,e juridic,ue.  Nous  croyons  qce  la  :oi
                                 projetée  par  le  cc;riité de  revision  du  code  civil  pour  iiite~cjre
                                 1;  consu1tz;inn  de  ces  re9is:re:      so:ilèu?rait  des  protestations
                                 tres  vives.  Je  sais  p6r  c>.en;i'le  rue  l'institiit  ce  déno$-i.o':;e
                                 A-   Il..-:    :Ar   '
                                     ,  Ul,~~c, >l~C GL  I!,üïit;'Stil  a  UEj'c  n~<cïü:; ime  uri  grdnd  ncmbre
                                 de  re~istrc5 cc  +orolsses  et qoe  ies  nis:oriens  lzs  utilisecî
                                                                           sur
                                 coriii niiel ie~~enl .au;*  des  ~:-ZVCCX I 'hi stoire  çûciale  O!:
                                 fconcmiqre.  D'ut  z~itre cSLë  i:  exi cte  un  norcbre  con si air ab!,^
                                 de  ~6nGaiogis:sc  clii - ocii;-s~;iveiit a1une,fa~on object:ve  des
                                 rravaux  oc  reknc.:-ciio  sur  ?es iar.;i!iss  et  ils  se  verr3ient
                                 prlvés  de  tsui soyen  de  les  poursuivre  si  le projet  de  loi
                                 fitaTt  passé.

                                           P, ces  eiificul~is 5'ajoùte  la  questioil  de  cr~vcir si
                                 l'institut  cjénGalop<iu? Drs~in, pour  ne  citer  qu'un  eaefiïp;e,
                                 cor8rinae:-ait  z.L~;-I I:c~- Y-, :~r,iis ce  i   c   o   s  à  des  f-ins
                                 ccn=iiercin:es.    5;  : 2  rc ci'-*-'.3  ~cien:;flr;:e  etcit rcndu?  i ~ -
                                                                .-.
                                                                   ,,I-
                                 possible  par  1 ';at~rdicririn 2e  :onculter  les  rsgis~rss, o:i
                                 inlugin.  f~cile::;znt iitic.7  le  se:i.it   iù 1'2action des  cns:'ci.?u?s
                                 si  1 '  Institut  rirocif, coritin~~it ses  affaires  conimc  ci -c'ev~i:~~.
                                 C'est  pour  cet:?  r?ison  qu~ if r.?nisti;-e  ne  ?eut  fÿnner  suire
                                 au  projet  ce  prrticir;cr,  cvei  ic mitiis~ère ce là  JUSTIC?, i
                                 1 'achat  des  nirrofiirr.s  de  1 'ins-ci tut  gSni.aiogique  Droui n,  ccr
                                 si  les  Arcnives  nàtiona!?~ ce  pcuvàient  les  rendre  accessibles
                                 au  public,  elles  r,'iiuriiei,t cILc3r.e  rdison  d'en  poss2aer  un
                                 exemplaire.

                                           \'euillez  agrézr,  /,:ünsisur,  7'cxpression  de  Ges  senti-
                                 ments  distingo:;.
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