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quatre picds cle largeiir, entrc dc~~x fossés, siir 1111 coteau
distant de la dite rivière Chainbly d'environ trois arpcnts,
etc., etc. (Cahier 5, p. 135).
8 juillet 1735.
Procès-verbal de Jean-Eustache Lanoullier de Bois-
clerc qui trace un chenlin le long de la rivière Chambly
de vingt-quatre pieds de largeur, jusques ail cliemin appel6
vulgairement le Cheriiiu du Portage et de ce dernier en-
droit au chemin de la Grande Côte, depuis l'église de
Saint-Ours jusques à la ligiie qui sépare cette seigneurie
de celle de (lontrecoeur, avec les ponts, fossés et palrés
iiécessaires pour l'utilité des habitants. (Cahier 6, p. 136).
20 juillet 1735.
Procès-verbal de Jean-Eustache Lanoullier de Bois-
clerc qui trace uii chemin dans la seigneurie de la Prairie
de la Madeleine qui ira aboutir au grand chemin de. Cliam-
bly et qui servira aux habitants du dit lieu pour faire valoir
les terres qu'ils ont b Fontarabie, se rendre à l'église et,
au moulin, et ordonne en même temps la construction d'un
pont sur le Bras de la Fourche, chemin de Chambly.
(Cahier 5, p. 138).
19 août 1735.
Ordonnance de Gilles Hocquart, intendant, qui défend
aux liabitants de l'île Jésus de passer à l'avenir par les
deux anciens chemins du bord de l'eau, nord et sud, de
la dite île, pour venir à 19Eglise, et leur enjoint de passer
par celui nouvelleiiieilt établi et qui passe par le milieu
du domaine des MY. du séminaire de Québec, seigneurs
de la dite île, et ce à peine contre les contrevenants de
trente sols d'amende pour la première fois et di1 double
en cas de récidive. (Ordonnances des Intendants, cahier
13, p. 52).