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                                    de VerchCres de passer par le chemin dont ils se sont servi
                                    et  se  servent  actuellement  poiir  aller  sur  leurs  terres.
                                    (Cahier 5, p. 131).
                                         27 juin  1735.
                                         Procès-verbal  tic!. Jcan-Eustaclie  Laiioullier  de  Bois-
                                    clerc qui marque uri  cheniiri de Roi de  vingt-quatre pieds
                                    de largeur  entre deux fossés à la côte  Saint-Michel, goii-
                                    vernenient  cle  Montrbal, 5 prendre  à  la  ligne  qui  sépare
                                    la  seigneurie du Morigo, partie de la  seigneurie  de  Ver-
                                    chères, d'avec cellc (le Saint-Nichel, jusques  à la  ligne di1
                                    fief  de  Martigny,  <,t ordonne  la  construction  des  ponts
                                    ni.ccssaires, etc. etc.  (Cahier 5> p. 132).
                                         28 juin  1735.
                                         Procès-verbal cle:  Jean-Eustache Lanoullier  de  Bois-
                                    clerc qui marque uri  chemin de vingt-quatre pieds de lar-
                                    geur  entre deux fossés dans la  côte des  Prairies, à coni-
                                    mencei. le dit chelriin  entre la  ligne  qui sépare les  terres
                                    de Jacques Ledoux cd:  dc Pierre Bousquet père, et ordonne
                                    :a  constructioii des  [ioiîts nécessaires, etc, etc.  (Cahier  5,
                                    11. 133).
                                         G  juillet  1735.
                                         Procès-verbal ïle  Jean-Eiiatachc  Lanoullier  de  Bois-
                                    clerc qui contient les clircs et rcprésentatioiis tant des sei-
                                    gneurs  de  Contiecoci~r que des ciiré  et habitants  du  lieu
                                    au sujet d'un chemin proposé, et qui surseoit à faire droit
                                    jusqu'à  ce qu'il ait plu à Monseigneur l'intendant ordonner
                                    ce qui lui conviendï:~ sui. l'avis du dit grand Voyer.  (C'a-
                                    llier 5, p. 134).
                                         6 juillet 1735.
                                         Procès-verbal  ùc. Jean-Eustache Lanoullier  de Bois-
                                    clerc qui marque  et trace un  chenlin de trait-quarré aux
                                    Iiahitants  ïle  la  rivière  Chambly, côté du nord,  de  vingt-
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