Page 135 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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moi.  Le ~niiiistre liii &rit  unc lcttrc  oii il y  a  uii  niot
                                    hoiiiiête  poiir moi, il iic  mc In moiitre  pas, niais bien B
                                    tout le mondc  A  In  viiit4.  1'4311  nic  la  donne h lin.
                                    Voiis  rjercz coriteiit de ilion  niiuioii,e sur Qii&t~ec.
                                      Adresseï-irioi  vos lettres  poiir  la. Fi,ance du 1"' ail  5
                                    le pliia  tai,d.
                                      P»iiileroy  sei,;i feiiiie rL  he  coiiiliiii.;~ hirn et agiin [le
                                                        il
                                    eoiicert avec 110113 ; ~ ü i ne rcnoiicc  rit13   la  Fraiice
                                    et veiit teiiii ail corljs ro~l. Ileiriniii je  donne B  dîner
                                    ail &nie  et R  l'artillerie.
                                      Scliiigler a:  Martin voiit  ii htoiltr6al nvec des IIurons,
                                   et  da  lii  ii  irillo  I  I  pimer  de  suite  i Lgdiiis.
                                   FaiLcs-leur, je  voiis prie, politesse.  lhrtiii ;i de l'esprit,
                                   fi12168  ~OZ~CI?.Z<R.  Pr4cenez  d'H6bGcoui.t  de  leur  faire
                                   politesse,  inais  (le  suite  filer  11iiur lie  ]>ils le  laivser
                                   rxarniricr.  lfarliii est ofiicirr  d'artillerie.  Il f;iudroit
                                   iiiC.me leur faire 4viter Saiiit-Frbdfiric.  Je uc sais si oii
                                   aurii  eu  cette attention ici.  Uileii-le  :i  11. Uiiplessis.
                                      011 ~.oiiloit nie  mettre di1 conseil de guerre ; avis de
                                   l'évêque;  mai3 je ine suis expliqiié  rlii'on  auroit dû me
                                   IrolIoser celui de Stobo, qiii n'dt«it  d'aiiciin  corps, mais
                                   que  dans  ccliii-ci  l'ordon~iance me  dhfciid  et  ;i  tout
                                   oficier des troupes  de tcrre d'en  ê1i.e.
                                      I>a.idoii, si j'écris  si mal.  Dite3 b.  La Iloche  que j'ai
                                   iequ sa lettre qiii n'exige  lins  de rkporise.

                                                (Cette lrttre n'est pn3 s1gni.e).
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