Page 130 - La Société canadienne d'histoire de l'Église catholique - Rapport 1961
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LIX
[Iiitogiaphe]
Qiiriiili~e je n'aie rioii di, l>:~rt,iouliri. n( de nouveau i
vous écrire, ilion cher chevalier, je ne veiix pas laisser
partir Eoislitbert ia;is vous ticrire.
Le jeu est fini. I.'iiitcndarit paroît honteux; fait,
arnende horiorable, lierd deux cent inille francs ; ce qui
n'eiiipèclie pss qiie qiielqum p~rticulier~ ne perdant
trop, eiitre iious, de Sclles, capitniiie ziu r:?gimciit di: la
Sarre. L'iiitilndaii~ ut sus a,lliCieiits veiileiit iliiiiiniim
sa perte. Aiiuez-nioi, riioii clicr clic\~rilier, aiita.nt quc je
voiis airne. Riîilrn 1111 iettre. Saint-TTiiiceut vn b
Cliariibly et iie 18 Mont,rbtil.
Je réponds, nioii cher chevalier, votre lettre du 17.
Je vuus raiivoir lea letcres de d'Hib~ooiirt qui ni'nroit
anssi Cent, dont la c~uduite nie paroit bonne.
\la fiiqlin de peiiïer esl confuriue ii la vîltre, soit
pour taire l'uvent,ure, soit polir, sans affectation, d4cou-
i-rir les mutins, les renvoyer ct les punir en temps
oppo~tiin. Bien Iait d'zrvoir fait, auyciyer ce suppl8rnent ;
la saisoii nous sert. A I'Pgard des dix soldats de recrue,