Page 46 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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Notre alnb d'agrioukme nona s BpqpB la WdtB de uons
pmm des hiles dam b aamte de P& En lese aahetant an co-
opération ii pleins wagons, nous apans pa abtenir pour ce aomt6 des
h
dm meillem compte que nous aarians pu L faire de bmncùup de
fabncanis. Cette am&, favorisés par m mois de 6 pluvieux, nous
avons mntind notre campagne en faveur dn &a+,
&
dspuiil
le
mois de juin, nom avons oo& toutes nos jotméea et denù-jonrnéea
dirrponibra B éUh dea biaagm dags les Miirentw partles du
corntg Meus avons triomph8 de la quatriAm diffrcnlté an moyen
d'un excavateur à va- que nous pri3.a lo pmvince de Quék, et
par suite nom tlvons pn donner au dmimge wcanvert me wanca in-
connue jasqu'ici en ee Wch Le pqriktajre de l'excavsteur se
mit lui-mhe B notre disposition e$ euivit le plsui que noua lui avions
tra&, accepmt rrss pentes, W.; fi r d de- mois avsc nous; nm
crensions une Langoeur d'an moins 2,000 pieds par jour et même
8,000 pi&, quand la mkwe du ml 1s parm&'6aiI. Vu que pm eh-
droit le t d était deux, nous svom brisé quelques pi&= de la
machine, ce pi MW a cab du =tard; mais lm eulkivrihurs @nt ai
contents des résnlhta obtenns que, suivant ,toute probabilits, ils acbe
teront un awv~tern .an ooop6mti8n.
Ze maïs est me deg r6coîte-s favorites cle ce comté; en plnsiem
enhi&, plus de 75 pour cmt des cultirateam wt des silos Ton*
la semence est impo~tée; qudques ccultivateurà seulement ont gardé
le d~ Flint. Naturellenient dea &sons d6favorabIas, eamiee ceUe
de 1910, ont dharrrg6 uo peu qaelque culti~ateam. Woes mna
&-hé à monter cet obsbcle: pmni&remant, en momnandant
d'deter la senience épi; deuxilmement, en soumettant à 1%-
pmwe des 6chrtntillona poiw tons 1- grainetiers lwns; misi&me-
mat, en essa~ant de développer une es@e de maïs Dent adaptée B
cette Iditii. Depuis denx amth, le cercle ngriccib de Land sud
a&* sa -ce en épi. En comparant la semence obtenue par Iw
membres, mnh, atrec cde vmdne en gros, on mit que eerix qW
ont suivi la nouvelle m6thode ont fait an gain de plusieurs dollara.
Am printemps de 1909 et 1910, asus mon6 wumis 3 l'épnve h se
mence de maïs de tails las ppinetiere,.h mesure qu'elle &rait, et
pfeBQue tom ces dm& se sfnrt-gnidés mw na7 rapports qui étaient
lenr mule garantie. Le envois qui n'atteignaient pa9 le degr6 voh,
ont Bk& rmw* Nous avans coma& notre travail de seldon
par nane eq&m de maïs de maturit4 prikm, et que l'on dtive dans