Page 45 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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En général, nw efforts ont 6B aomnn8is de su&.   .Xaa espérienma
                             de cetZa annérr apt été £aites am des plante9 fonmgha dont une
                             phe n'est  paa  enare rdeoltdq nom ne puvvm fod de ch&w
                             paut fgirs         lm -ba          rendment en avoine a mon6
                             da  15 bsisseonur h 40 par  am; les frrtis &taient de $6  par erra.  An
                             mbm endroit, les .temaina  qui  avaient BtB  fertE&  1-i%   pr$ag
                             dents ont mppots 15 bokeaus de plne que lm krr~ fd-
                                                                                 non
                             BBS.  On a obtenu ansai de bo&  résnltats en d'antrea  adroits avec
                             du  millet,  de la navette et  da beîtaaves;fomrag&rea.
                                 Pendant la demi&  misun, noes avons dirigé nos sfF0rt.a sur le
                             chkap  Dam le wmt4, 'on n'avait,  en @&al,      fait  cpze  peu  de
                             Mage avant 1907, et qnmd nous avons entrepris ce tramil, quatre
                             obstdea se &esaient  devant nom
                                 1.  On dontait dm  avantage qui en m  "eraient;
                                 S.  On ignorait la maniare de procéder
                                 3.  Il n'existait aneuiie fabrique de tnilea  dms k comt6;
                                 4.'  Qn ne oonnaMft ni le drainage  à  rampe,  ni k pom  de  la
                             tuile,  etc ; il était diEde da  trouver des  hommes sachant m gem
                             de travail.
                                 An mars ders migofi8 de 1908 et 1909, nous avons réwri, jasgu'ià
                             un oertain point, B aplanir la premi&re diiücfilté grâce ii notre oeuvre
                             de pmpaganda, par des mnfETencss, des artide de jonrnrmx,  dea  db
                             monstrations, eta  Nms avons 'vhcn la  dsdhe en ûflra-nt nos
                             &ces   gratuitement panr f&e  les IevBa,  établir des g~tAmea, pré-
                             parer  des ph, etc.  Au  mm de l'automne  de  1909, qnelques-mu
                             des sJrsteimes  que nous avions préparés furent~ en N  e  in@&   par
                             des  j0wdi.m.  Un de  cei b p s   convenait pdnitement comma
                             terrain  dJmpérimentatian.  Bitne  le long  d'me  grande  route,  on
                             avait  cm préc-at      qu'il  Qtaia impdle  &e  la  drainer  am
                             avantaga  Ce 'printemps, alors  que les ~~ voisins Btaient char
                             g6a  d'au,  le champ àrainê 6tait sao et en bon  Btat;  On aurait pu
                             l'ensemenoa~ au mains mis Bernaines avant lea*terrains des alantous,
                             & on le $sema  par dn maïs.  . Oe mais sa114 par la premi8w fois
                             B  cet endroit était,  de l'avis  de toas, le meiüeux  qu'on  pouvait voir
                             sur un  rayon de plnsienrs milla  Emiwulement 4taitril haat et vi-
                             goure-   mais il  amit pod égdemtmt  snr toute  1'6bndue  de  ce
                            champ,  et  muri  en bonnes  mnditiuw  Inutile  d'ajouter que  nous
                             avons rôçn  plnsieais demandes d'aide  de  cette partie  du  comté  au
                             aaurs de l'armée,  et  mt antomne le posmmur du  brmin a posé hi-
                            mhe nn plein mgon de $nilcs.
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