Page 35 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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                             peu éIev6, ohez nous c'est  l'inversa  Donc,  la aiilture des terra d'un
                             prix minime avec  une maEn d'mm c05teose,  suivant dés plans et.
                             dm 146thodss qui, tout en hmpensant 143  cnltivnteur d'mie maniè.Fe
                I            s~Msnt.e, cmmrveront au ml m mrmq est un problème in-

                             &-t      et complexe.  Pour ca qui mimerne l'htario,  ectnellemtmt,
                             &nivant nos méthodes de onlm  agrhla, il ne s'agit p tmt de In
                             conservation da sol qne & eelle de la maia d?wnvra  Nous ahdone
                             auiinteeent A ren&e le travail ph effectif.  Nona avons dm millions
                             dpaaea qu'il  fandm drainer; le hinage, $3 peut  s'dectuer  facile-
                             ment,  srm  pour  &et  d'augnlenter  la pduction,-de9t  ponrquoi,
                             on vient  d'en2reprendW  mie  ampagne de         soaWns trPs
                             active.  Nm possédons, dans. l'Ontario, la section la plus belle et la
                             plus étendue qui existe sur le mtinsmt de l'h4Rqne du Nord, poï~
                             la production des froit9.  Nous avons quelque3 milliers d'arbres dont
                I            nom prenons bien soin, qd produismt de bons frnita; maicr  (et je ne

                             crah     .esagélôi), noua  négligeam  des millions qui  ne produisent
                I            pas, on  dont noua reha plua  ou moins de  profit.  An cours  da
                             années demières noua  avons  dhantr6 qus nous  avons des  pomme-
                             mies n8&$es,   qni Bguremient parmi nos plna grabdes ~        ~          ,         -
                             de là notre  campagne en faveur dae  verge=.  On trouve  dans les
                             farma plm d'an  mon de vwhea  11 lait dont  ohdianne pduit une
                             moyenne de 4,000 lim de lait par am&.  ISi l'on  abatkit 200,000
                             de cieh qui p-tt      le maihp, il y aurait Baoaamle de main d'mu-
                              vre, et de nourritam et rédidon de profita notabla,-talle   est l'ob
                             jet de notre campagne en favenr de l'industrie  laitibre.  Nous poni-
                              rions nommer d'an-   mjeîa dJactidt.é.  TA  clef ddn  ~Ûigooeq en a&
                              culture, dans l'Ontario,  dast  l'emploi plas j&eux   de notre travaiL


                               CO-t    la      Voyons  mfLmhant de quelle ma&h  le minia-
                                Mfniirh    th prend part  au mouvement.  En  1814, fut fond6
                                           ie ~;UZige  &c&       I'&tsno.   ~end~t pluabut%
                               wni  OMVM
                                           anab &te  btitu&n  n'eut qn'une existenae bgub
                                           =te;  les 6lBvea et Isa mh Btaient pen nomlmmxx; elle
                              n'mm&  gube d'Mumw sur la c         b  qpÎmle.  A~jourd%ui,~et
                              depuis qudqn~         elle regorge d'&udbts.  J'y  ai compte il34
                              bhm; de@  qnelqnea annéés, plus de  1,000 jeunes gena ont dvi
                              1-  diff6renta COUFB.  Comment a-hn obtenu ce rihltst?  P&h*
                              ment, la pmfeswms ont mgmi&  de9 aawnblih de cdtivatem; ih
                              leur ahnt la  parole; ib se eoat mis en rapport avec les fesmiera,
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