Page 188 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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IBO            OQ-ION       DE 'LB C~NBHRVATKQN

                                      LE Zfe Bnrpscm:  A,zSmheeit
                                      M. ûmiw  Je  ne duai  qne  peu  da  mota  sur le  sujet,.
                                 Daph mi, h wmw ooqkre la  tuberonlm  doit ab conduite
                                 par chaque pmvinee, nisis ii eeit il sodaiter que lei  mode d'dm mit
                                       p~ nue sntORt6 oanwle, des*,       le Clouvarnement FedG
                                 rat
                                      La question du seoonn, hanoier at un aujet de disemion.  Je
                                  propose pne chaque ppvince iecoive  une subvention proportionnelle
                                  ii   popdation,  pourvu  que  las dglements  de  l'autorite  oentrde
                                  soient  mis ii  exéciition.  Je pense  que  TOUS  serez tons de mon aviil,
                                  lorsque voua  aurez réfléchi ii la  proposition,  et que  nul  membre du
                                  corps des mMecins ne condamne Ia  question du traitement convena-
                                  bIe  de  k tuberculo.se  J'ignore  a'il  y  a  quelqves points  en  Litige;
                                  c'est ponrquviJ je na vois auam obstacle qui ernphherait me autorit6
                                  centrale de  fomnler dm sèglaments pur servir  de gaide  &  ehaque
                                                                                   de
                                  proriam,  et B  tonte  personrie intér&   ii la qnd~n 1s  tub-
                                  loae.  De cette 1iEaniike on aura une autorité centrale pour diriger-
                                  je ne dis pas pour coopérer, car on peut coopérer à une chow tout en
                                  ayant des idées  diErentes  à  son snjet  L'rntoRté  cenide dena
                                  domm k direction,  e$ toute province,  qui ne sirimait pas sas  Agie-
                                  ments,  ne  devrait pas avoir droit de  recevoir sa part de subvention.
                                  En d'an-   ternies, nous admettons que l'autorité  centrale adoptent
                                  las meilleuros m6thodea  de traitement de la  tubarcdose sous toutes
                                  ses phases,  et que ses directiane mont qrimQe;s en termes clah et
                                  précia.  Chaque provin-  qui, dors,  exécutera les  règlement^, selon
                                  Iri mesura du possible,  aura  droit à la mbvention que le  Gouverne
                                  ment Fédéd lui aura accordée,  pour  l'aider  ii  dsondre le problème
                                  qui  est hE%   de tant de ilifficultés
                                      Le sujet est trop gén6ral pour que cette Conférence enttspmne
                                  da le dknbr maintenant.  Nous rodons ~e  antarit& centrale, parce
                                  que la Nourellelhsse a un plan, le Xouoeau-Bnuismick un autre,
                                  l'Ontario  un  antre.  Chaque province  a  aes  id*   toutes bonnes,
                                  mais qui  ne concordent pis; et il MUS  faut  agir de cmnert, si nom
                                  rodons enra-yer Ia  tuberculose.  Je ne vois aucun moyen d'y  arriver;
                                  escepté par  l'action  d'une  puissante autorité  centrale, qui  pourra
                                  &poser  de fonds considérables
                                       T;E Da. PoB~: Quand an fRit  mention  da  UB  qai  6e p@@
                                  ailleurs,  on nomme lfAliemagne, Edbburgh et l'Irlande;  et,  comme
                                  l'a  dit hZ Fisha, ce matin, nous devons foumir des £ai&  Par ex-
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