Page 111 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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Deph ptre nom avons ent~ep& le travail de la ëoromkion,
notre Bhde a pris naddement deux dimations : celle des mndi tions
fwsstiiiires da la province et l'etnd~ des oonditions foresti6res des
autra pays En analysant lm rienseignements que nous avons obte-
nus de CM deux SOUICBS, nom avons -y6 de fome~ un jugement
exact sur 1- m6Eomtion~ 21 recomrmder tauchant Ia politique et
l'administration fomstih de la ~o~ambie-~ritand~k. Nous avm
tmuvb l'origine, qne la province avait heavcanp 1 apprendre en
faik de qwstiaris fadèies pratiquea. Xléa parties du C&
d~~811t axpIoik6es et phsieurs da Etab de l'nnion ont da tra-
Y- des p k diffides iorsqu'ifa ont entrepris Yu-tien de le-
for&; noua venons d'arriver aa pos &ils-Y~nt commencé, D'au-
tres gonveni-tr ont essas4 et aa&&~~@ih<dqt*
mé-
des
thodes asre nouveiles pour nous. o on ta rio, ~u&el le Service
forestier des Etats-Unis, les datiork volontaires de protection
contre l'hcendie dans les Et- de Pouest, pavent, hdividueb
ment, nous montrer oommmt agir et ce que nom devons faire.
Je cn&&& de rhqaer me opinibn m le nombre de lirracr,
et iapports, $mitant de sujet; famtierq qne nom B F ~
pmmmlra Nnm y evana hnvert des'relzseign~enb préoieuz, 9
et 1Ib Wh, somma tonte, nous avons lu h voluminenae histoire des
origines de llezploitntion foresti~re, sur le ~01itinm.t AmQxi&, 8ve~
des sentiments voisins du dharagwnms ,hTous_6tions attristés à Ia
me du peu de basd afEe~tu6 et de kshnrü6nse sdd>ki bi'mrait da
êbe accomplie; de l'absenea dpesp&édfion et. d7inv~&tion et
du pea de renseignementa relrttrfs aux ~~ foresti8res. Ii me
eemble qu'il y r trop de disousions académiques, de sen-
talité ~~nt la wmemat.ion, et si peii $mmu~ent pratique
dome h mt tiravail &a, d'agent-mnsaoré B la iiiche. Cela 1
si
pu
me nipp& l'hbbe du déjeuner du pêcheur Ecmmk-rine bon-
teille et demie du meillsnr whdq et un'petit pain d'un wu. Noas
.. *,
nous mnmea familtanses avee des Comniissions gonvmementales
fodh: de9 nomit, da rapports annuels, mak de fonda, point!'
EM, noos avons COIIOIU que 1s mnsmaiiion, en CO~O%%%E~~-
bmiqne devait 8a.e qnelqne chose de mieru que tout cela, eb plad
erir une base 0ommHe solide, Aprb tout, qu'est-c8que la con-
mation, &on Pappliation da prul~ipm ordinaire de comuem
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