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aaam h&t& de P m . On sait que cette der-
nière figare a mnm & des tampa ~n~~
me grande favem et aa large emploi dans certain
paya europben qai en tira le nam d'un-
pditipe.
Dh 1802, Ntyd6an qui ne dadaignait anm
meyen psy~hol~gipe de se gagner les hommea da,
h l'imitatiw da ardraa andm (cf. sugn;r,p. 124) on
6trangm. la Mgion d'hmmear dont le nom ~6gian)
rappelait anaai I'm, conformBment B la moib
da jour. Mtnrr des digpit4s. e'6tait implicitement
atm ?a mvi-e de oefles que l'an tamit
s"&. Lor noblea daangm qui vd~nt en
fiws avaieat dss voitPres, det~ livrées A lean ar-
mas. Lm Français qui avaient 14 droit hérdditair~ et
les moyens phnidm da lm imitar, ne a'en fit
pas hate.
Napoleon devenu empereur ne tarda pas B wk
me &ude noblesee qni reçut son sta& par sha-
tus~rronimb 1808. La texte portait eq-msérnen~
e laj nonveaux nobles recsviaient leu6 armoiries
E~'am~mr, avec 1- 1- de critiaa ril-
lm et o ceriathQ purent Bgdemant recavair dss
blasO]aB~*Mraldiqio $tait dom offioiallane~t nr
ta-. Mais die Méxa de celle qui l'avait prihbdth
ar Ise Gpbs dont de usa et qui eorreapmdiairmt
'me deTa sîxïcte anx fonctions st aux dîgait8s
comme l'aaôiamrtt Wdique masnlmane). Ccpea-
t, un certain nodm de mambres de l'aaciapize
noblesse, d& L'Empire, se virent Wtper lem
B
mnoiriea a~~ibnaes,chargBos Euae piBceàhtbctivu
a6d~
~~=~~ mieme mnbledJ~e
repdt titres et qaa y nouwlh gardait les
aiene, Ceci a'mbndait aussi des armoiries.
La Bavolath de 1850 dinna srprole-t oe