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L6e irwaaima barbarsr avaient par aiûem mull
                                   qa6 un tomnant dans I'art  militaire, l'wpement
                                   et la concaprion même du guerrier.  La cavalarie
                                   rewonva un rôle de premier plan comme l'attesta
                                   Végèce dont le manuel ditaut (fin do rP el&Ie)
                                   jouira d'an  succès ininterrompu juaqu'8  la Red-
                                   iance.
                                     Le soldat ganlob est armd natammtnt d'une bcm-
                                   clim nu4 h&ut qu'un homme et que chacun orne A
                                   ss rnanihrer~, noua dit Diodore de Side.* Comma cari
                                   boadiers -nt   non seulement de defanse main en-
                                   oore d'ornement,   elques-uns y font graver den
                                   fipm d~nirain en Tm ssc, exéeutéea  avec beauoo
                                   de soin.  hun wmp.  de bmm*  Bon*  g-       <P.
                                    rowbtbanccs  et  leur  donnent l'ab  gîgantamp~.
                                   %uuma tia ce. cas  es portent des corne.,  à3autra
                                                                          s"
                                   dan figares en die 9" d'oiseaux ou de quadru   asle.
                                   Cm àivrvs gemm de cimiers auront la faveur  a none
                                   rno~nn-âge et joueront leur rdle en h&ddiqae. Ne
                                   mm parmi les armes offensives un javalot  à bipb
                                   pointa dont Ies fers mnrbés agrandissaient la plaie
                                   quand an voulait l'arrachez,  et pai est peut-atm h
                                   f ongine de noee fleur de iys, {Cf. p. 94.)
                                     L'armement  baràare  a  donc  apporta  vraiscam-
                                   blmblsment sa contribution aux Blémenta faam&  de
                                   noau h&ddip. Mais,  fait beaucoq plus imper=
                                   tmiq l'idée mhe que l'on sa fait du combattant  8
                                   .
                                   chan@  et va créez  des caaditiom paychdogipaea
                                   ornicas B la naisaanca du Mason.
                                     - En effot, 10 mh, la combattant, - qndqnsr
                                   pibclee plus tard on tradaira par chevalier, - n'sst
                                   plna le citoyen dam une saciétd d'éganr,  comme au
                                   tampe de la citd antique ; ce n'eat plus nu  ~  G  F  C  O  ~
                                   de amtait social inf6rieru ou parthlier, comme aoas
                                   l'Empire,  c'eat  lthamme arm4, donc indép-
                                   puissant,  riche* dana  une socidtd  décadmta  oh L
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