Page 41 - La Généalogie retrouver ses ancêtres

dsvoPr.BIIugsYn~apasderaeepnre,ilyaun
psychique et phpique plus fr6pmmt I
mcontd oheg teHs nation.
Md îa pDsaibilite de trammbion ne dbparatt
paa complètement avec le temps, et nons pouvans
d'un tnsaleul, plus de 11 16 de noe earactèrea
hMk.
D'abord intervient le principe appelé l'imph
1 du mc&~b. Un individu n6 en 1920 davriit da-
aendre de 32 ipadrisaïerils diffkents, mdéa vem
1800 BE de 256 dona d'ano&tree &dement diffd-
1 =ta, dBs aux envirom de 1120. h chose est tout
A fait invrakubIable, 1s monde entier &nt i peine
plue pqM B cette époque. En fait, il y a eu dea
mdagea entre parenta, éloignés on non, le m8me
mvimt plusiam fois, sonvent B plmieais
gériératiomr düfhtes, et 1s nombre des mcêma
réda est bien inférieur dui dea ancêtrea ththri-
qiia. te rappoe de Irim 1 l'antre de csi CW
est
1 lim exe da and-. Le mi d'Espagne &,phon-
&
Il avait 111 andm an lieu de 1 024, a esth-
dire an hpbe de 90 % 1 Les ancêtres qui rcvien-
. .
ntmt le phis sonvenz ont 6videmment un pouvoir
h&&tam phm caneidérable.
D'autre part, il y a dea anmes a foite D comme
l'a f& mmwquer M. Otto Fmst de Battaglia. Ainai
Gu9ta-e II Gtait le portrait vivant de son ancêtre
1 la Grand Elwtem de Brandebourg qui n'aarait dCi
que 1/65 536 da sa dom. Iï est bien dvi-
lui 16-
dent qua eas anchee r forta doivent etre plak
sm dea Kgma de force priviligibea die l'ascendance,
que le gdiibtaiogiete, dont nous venone de parlem,
mths bwa les sdriea d'andtrea de mdme me,
o'ssth-dim la ligne pateinde pare, ce qui redon-
nerait ma importance B l'ascendance ap~iatiqae, et I
ia Iigm maternelle pure.
I