Page 31 - La Généalogie retrouver ses ancêtres

Du cet6 français, a'mt fond4 en 1955, le Ce~s
@ne'alogique de Paris (64, rue do Richelieu), où,
80US la direction di1 barou Erlouarrl de fiervo et
de M. Ceorgea LutCaIIa, se réunisaeut nombre de
gbnéalogista déjà cités ou d'autres, comme Paul
Adam, Rolaiid Jousselin, Henri Vrignault. Cette
association ~ulilie un excellent Bulbtin avec de
rernarquahles dtudes sur leli sources ot dm liatea
des fonds généalogiques pro*iayx iutrouvabiel
. .
pilleure,
La Centre dSEn,tioidt pbnhahd"yiie (Villaina-la-
Juhel, Sarthe), clirig; par le Dr du Chiilard, qui
publie La Frranca génkl~pique~ 31. Philippe du
et
Puv de Cliacha~rit). aui ;dite L'inie-diaire &
1' 1
chercheurs et curieux (16, rue Xloiitpenaier, Paris),
EOU~ aurtout pr6occupés d'aider les g61iédogitea,
arrêtés dans leur6 recherches, par la tenue d'une
rubrique u Questions et réponses u, dont l'efficaciti
est consid6rable.
Cee sociétés ont pour but i la fois de permettre
aux chercheurs de se rencontrer. et de mettre 21 leur
diaposition uue boiine b&liotbLque généalogique et
dm sources d'état civil nu~lsi c~rn[ilètee que possible.
Celle qui y s le mieiir réuasi parce qu'elle dispooait
de moyens consid4rahles, at, aux U.S.A., la Sociéid
ginkdogique de I'Eglise de Jksus-Ckist des Sainis
des dernkrs jours, autrement dit des Clormona.
Elle considére que, poiir jouir d'un &terne1 bonheur,
. -
lea hes des morts qui &'out pas repu le baptême
doivent le recevoir de nos jours. Or, nombre de
Cpa morts dout nos mc.+trës, mais noua ut le^
eomaisaoiis pu. Pour accomplir envers eux ct
devoir familial et religieux, il faut mnnaitre
leura noms. Partant de ces principes, cette société
a commencé un immeow dépouillement de tout
l'dtat civil d'Europe et d'hérique. A ce jour,