Page 113 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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                                            PHIC  nbgRgar h pMtee prophbrigue dm ce roman-pohm eontidér8 tan&  comma le  min de
                                            IL~~ibk,~com~hmçophomd'unpsupkqùi~&Lm~~k
                                            ~~~1&h~6~~~.~1duntiwyMc~~bncr,unvaiPMe
                                            erld'ahrme:pu~du~.Uhutc~~uurdsigieri&pPnnaCaxtnir~&pcu
                                            h mort de Hcrrrud. d#  en pmle à h dénioon. Et ce n'est sarts doma pas b seule mbhnce que
                                            I'onpoumk~mkpcrwnasadeSPwdrNd~,




                                            LA FOLIE DE MENAUD
                          I                 Raquerces aux  pieds, Menaud reprenait enfin le sentier de sa
                                            jeunesse. Sa f&
                                                          écair grande au milieu da souvenirs qui, par 1s
                                            chemins de mIciI, duaient de pamur  travers le bois de la
                                            coupe enneigée.
                                          s  ri fiisait de grands gestes,  fidonnait des  rengaines de i'ancicn
                                            temps, s'arrêtait h ses vieilles plaques, joyeux de Erapper sur 1s
                                            arbres pour signifier sa  présence de maître & la for& inquiete.
                                            Puis,  il  repartait 2i grands pas,  la  t&te haute,  les oneils piquk
                                            dans ses  brida de raquerces,  tandis que, dcrritre lui, brillait Le
                                          IO  sillage de ses pistes héco'iques.
                          1                 e< NOUS sommes venus... et nous sommes restés ! n

                                            Ces mocoia dhdaient lcs ressorts de ses vieides jambes.
                                            u NOUS mrnm venus... et nous somrnes mt& ! r
                                            Les uaîftts k venaient bien lorsque lui, Menaud, aurait soulwk,
                                          t?;,d'un bout à I'aunr  du  pays,  cour  le clan des libres chasseum
                                            Aion, A toutes le. portes du  domaine,  il  y aurait, contre les
                                            eempiçtemen~ de Pdwger, une garde tenace, hfranhMe.
                                            Ah!yaiF,!&!yab!
                                            Menaud marchait, marchait en tempete, escaladait les raiclbns,
                                         lo s'agriffaic  aux  branches,  sans trêve  ; mur son vieux  corps Ctait
                                            invinciblemat halk par un désir qui grimpait en avant de lui.







                          ecture
                              1.  Commentez le @me   de la composition : comment Le s@e simule-t-il la f&rilits  do
                                 Menaud ?
                              2.  Pourquoi ce texte est-il au pas54 I  Quelle est la valeur de cet mgloi ?
                              3.  Relevez les signes de ta folie de Menaud.
                              4.  Qu'ajoute i cet emait h ciration répétbe urée de *ria  ChuptkWne?
                              5.  Brossez un pmit psychologique de Memud.
                              6.  Fourriez-vous relier le EL  désir n de Menwd i une idéologie politique précise ?




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