Page 10 - La Généalogie retrouver ses ancêtres
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caractèrt on i'iqmt &mique : RoUoa (BrùIf) est appelé le
si
Pihn. Ceat qu'il et gmnd que sas pieds touchaient terre
fmuqn'il M hiisait sar les petit% chevaux de ma pays, et qu'il
préférait allez piad. Son gad-@rc matamtl était orn6 d'an
nez digne de mémoire. Son trisaieril. Haldfaa, est dit la Vism.
w qui n'wt pas, dans m tempa terribles, une simple marque
de long&vite. C'nt nous-entendre qu'il a 6th aiciea fort, assu
crmragem, aises irrge, aeiiez s&til et assez prodg6 par la
chance pour échapper au sort habituel des Rkin~.
Deaa aièdw après h le Savant, c'est le Portugal qui w
iignale a i'hiatoirc de la gCn4alogit avec l'hiitoirc dw grand-
familka de cc p8y#, icrite par it fils du roi Desris mort en 1395,
Pierre, comte de Barcdoa. Ce CapCtien. dont le Se aieal est
Henri de Bonrgogne, wmtc de Portugal. et le qE aïeul Fiugum
Capet en sa pmpw parme. a bti dritablerncnt an préair-
stnr. Sou am, restée &videmmcnt mtinuscrite, ne ht puEtlisE.
m espagnol. qn'en 1640.
II. - La hnea de la génhiogie moderne
(XVie-XYIIe si2clea)
I
La &volution des id&, qui produiait i'huma-
nierne, orienta dans un sens nouveau le destin de la
gén6alogie. Peneiant que rien de ce qui concernait
l'homme ne wnvaic leur être étranger. Iaii historiens
V ,
de la ~enai&anee se tonrnhrent vers des recherches
ghéalogiques qui n'avaient plus poui but exclasif
de prouver un droit de succeseion ou de flatter
l'orgueil d'un souverain.
En 1556, à Balle, un généalogiste suisse, Jean
t Herold publiait ses &n&alogiss figurbes da la Mai-
son rqv& L Frame et d'amas maisons illwrra, et
1 un historien belge, Schohier, imprimait B Bruxeiiea,
en 1597, on Estat et comprtmumi des armes... et
~~ & draser gémTCedogies.
J Mais la France &nait bientôt la tête de ce
I genre de rechercha. Des jurista, Pierre Mathieu,
Pierre de Saint-Jnlien, Jean Gnyart continuèrent
bien A faire de la généalogie succesaorale autour