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INiRlDUC'I'ION
Le gréJnd nombre de documents réwüs autour des "Familles pionnièresll de Kamou-
raska nous a permis d'établir la généalogie ascend",nte des paroissiens et paroissi-
ennes de Saint-Louis. Ce travail commencé èepuis deux ans, voit aujourd'hui son
achèvement. Puisse-t-il répondre à l'attente7
La ro:;cherche aux archives s'est concentrée sUr cent dix f.::..milles Différentes.
Lors~ue la date èu mariage religieux restait inconnue on a dn inscrire celle du
contrat signé devant notaire habituellement la veille de la célébration religieuse.
Pour rendre l' énum( ration claire et précise les re-maJ'iages frÉ-quents jadis, ont
été omis. Normalemént on compte trois générations par siècle cependant les enfants
issus des mariages substquents se m&~ieront 40 à 50 ans après l~ première union de
leur,~ parents.
Nos ancêtres donnaient un double prénom à leurs enfants: Joseph-Marie pour un
garçon et Marie-Joseph devenue Marie-Josephte pour une fille. Les chan~ements de
prénom ont nécessité de multiples recherches: ri06~-Anna se marie ~ous le nom de
Joséphine et redevient Rose-Anna à son décès. La c~use de cette fantaisie reste
inconnue au géné~logiste.
Les colons arriveront en Nouvelle-France aux XVIIe et XVIIIe ~iècles. Les
premiers épouseront de jeunes Françaises venues aussi des différentes provinces
de France. Par contre ceux qui mettent ~e pied ~ur notre sol tardivement choisiront
comme épouse de petites ~uébécoi5es nées au pays. BlIes ~ont parfois très jeunes
recevant du Roi une gratifichtion qui les encouragera à peupler rapidement la colonie.
Certaines personnes seront déçues devê:l.J~t leur arbre f,É;néal(\gique inçomplet.
Jusqu'~ ce jour il nous a été impossible de retracer le chaînon qui au~&it permis
de compléter leur ascendance. Le~ mariages célébrés aux Etats-Unis, au Madawaska
et en Gaspésie ne sont pas tous répertoriés.