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$ès l'assemblée annuelle de juin 1973, s'est prononcée pour la
libre conaiiltation des registres. En septembre 1974, le conaeil
adoptait une résolution appuyant sans réseme le mémoire que pré-
sintait la Société généalogique canadienne-française au comité de
1'Etat civil de l'office de revision dii code civil.
Par aillours, Me Denis &cine donnait en janvier 1975 une
conférence devant les nembres de notre société pour les informer
de la situation prévalant h cette époque quant h l'avenir de la
consliltation des regis-tres.
En 1976, nous avons demandé h nos membres de signer et
d'expédier une lettre protestant contre une éventuelle loi siir
la confidentialité qui devait être présentée h 1'Aasemblée Natio-
nale et q;Li alirait eu pour effet d'interdire 13 consultation des
registres postérieurs à 1375.
Fhfin, notre société a orgaqis6 le congrès des généalogis-
tes tenu à Québec les 9, 10 et 11 octobre 1376, et à l'occasion
duquel les g4néalogistes renouvelèrelit par un vote unanime leur
opposition à la restriction de cent (100) ans sur la consultation
de l'état civil et adoptèrent un code d'éthique da généalogiste.
Dans les semaines qui sliivirent le congrès, la Société de
généalogie de Québec a officiellement adopté le code d'Qthique re-
couimamdant à tous ses membres de le signer. A ce jour près de
trois cents (500) de nos membres, en presqJe totalité des person-
nes résidant au Québec ont signé ce code d'éthique.